"lechat" Yesterday is history............ Tomorrow is a mystery....... Today is a gift.................... That's why it's called "the present"!!! Enjoy and savor each day.....
samedi 27 octobre 2012
vendredi 26 octobre 2012
jeudi 25 octobre 2012
dimanche 21 octobre 2012
Dick Dale - Medley: Surfin' & Swingin' / Misirlou / Wedge - Live on TV! ...
MUSIC de surf des année seventis super !
The Trashmen - Surfin' Bird
les pionniers du surf la gauche de la les année seventis music dans leur combi a fond australiens et américains pour évitez la guerre du vietenames venez surfer en dans sud ouest de la France paisible et ses girls française qui les admirée cette génération flower power woodetstok bonne vrivrations pour cette époque des année soixantes- 1970 cool days
SHARK ISLAND !INFO
Statut
De Océan Prévention Réunion (OPR)
ATTAQUES DE REQUINS, PROTECTION DES OCÉANS ET STRATÉGIES PÉTROLIÈRES
Quelques lectures sur le web, en anglais pour la plupart, mettent en avant le lien entre réserves marines ou aires marines protégées avec les compagnies pétrolières. Ainsi, on peut trouver des informations nous expliquant que les recherches pétrolières offshore sont devenues de véritables enjeux stratégiques et économiques et certaines régions du globe sont fortement convoitées pour de futures explorations et forages.
Les réserves marines, censées protéger les écosystèmes, sont pourtant des zones où la recherche et l'exploitation pétrolières vont bon train. Quelques organisations pour la protection des océans seraient aussi en lien avec des groupes pétroliers, dont le groupe PEW, du nom de son fondateur Joseph PEW, dirigeant du groupe pétrolier Sunoco.
traduction réalisée par Patricia (merci à elle) d'un article partagé tantôt ( http://www.hesawyer.com/shark-attack.html )
La lecture en est pas forcement aisée, mais très intéressante dans le sens ou on nous donne une version de "spécialistes" qui entretiennent depuis longtemps le statut quo : G Burgess et Christoper NEFF.
Nous avons pu constater comment ce dernier, présent sous nos yeux ébahis au séminaire Biotope, à réussi à "nous" faire avaler que le problème des requins n'étaient finalement qu'un problème d'éducation, pour nous petits sauvages...au secours...
SHARK ATTACK - A POLICY OF TRUTH ? (Attaque de requin, une politique de vérité ?) document de H E SAWYER,
"plongeur photographe londonien, auteur d'articles sur la plongée, est sans doute le plus explicite en la matière, faisant le lien direct entre attaques de requins, protection des océans et stratégies pétrolières.
Il nous parle de Nicolas Virolle, Français de 36 ans, professeur d'anglais, en vacances aux Seychelles, qui est mort en vain lors d'une plongée en apnée à l'Anse Lazzio. Les autorités ont d'abord dit que c'était une hélice qui était la cause de son décès, mais il s'agissait réellement d'une attaque de requin, à moins de 30 mètres du bord.
Il n'a pas eu de chance. Les conservationnistes vous diraient qu'il avait plus de chance de mourir frappé par la foudre ou par la chute d'une noix de coco.
Et comme si cette triste épitaphe n'était pas assez mauvaise, ce qui suit est pire ! Car il semblerait que Nicolas Virolle soit mort en vain.
CHRIS NEFF
Howard Sawyer nous présente Chris Neff, actuellement étudiant à Sydney pour la préparation d'un doctorat sur la politique des requins. Ce spécialiste, consulté régulièrement sur les problématiques requins est un citoyen américain. Il a écrit une thèse sur la politique d'attaques de requins, comment elles sont perçues par les médias, l'opinion publique, les politiques et quels impacts il y a en retour sur la sécurité des plages et la protection des requins.
Mr Sawyer compare la thèse de Chris Neff à Jaws, à la différence près, que le monde de Neff est bien réel. A propos de Jaws, son auteur, Peter Benchley, était aussi l'avocat des conservationnistes.
Donc, Neff a étudié les attaques survenues en Nouvelle Galles du Sud en 1929, 1935 et 2009.
En 1929, la responsabilité des attaques était directement attribuée aux baigneurs irresponsables. Les autorités préconisaient toutes sortes de conseils pour limiter les risques et aux élections suivantes, les partisans pour la culpabilité des baigneurs, avaient perdu leurs jobs.
En 1935, le problème était d'encourager les gens à retourner à l'eau et calmer leurs peurs. Le public demandait des mesures de protection, les autorités ont installé des filets et n'ont pas attribué la responsabilité des attaques aux baigneurs.
Dr. Victor Coppleson, conseiller de la Surf Lifesaving Association, pensait, à raison, que le public était induit en erreur à propos du fait que les requins n'attaquent pas l'Homme et écrivit un papier à ce sujet. Il était soutenu par l'avocat et le président de la Surf Lifesaving Association, Adrian Curlewis, qui croyait que les attaques de requins éloignaient les gens de la côte. Ensemble, ils démontrèrent que les attaques de requins avaient de mauvaises répercussions nationales sur le tourisme. Les politiques agirent et le problème fut résolu.
En 2009, à la suite d'attaques de requins, il y avait un manque de confiance dans le programme gouvernemental pour la sécurité des plages. Alors, le gouvernement pour la première fois depuis 1971 critiqua les filets anti-requins ; pourtant le système avait fonctionné pendant 40 ans. Pour Neff, le manque de confiance du public n'était pas évident, puisqu'il y avait foule sur les plages, sans doute prête pour les photos et les vidéos à partager sur la toile. Ian MacDonald prétendit que les filets fonctionnaient et que si un requin s'approchait trop près des côtes, il serait capturé. Il avait la confiance du public. Au même moment, sans entrer en conflit avec le mouvement conservationniste, il leur octroya plus de responsabilité dans le contrôle des plages, pour la surveillance des filets afin de sauver les espèces protégées.
Les déductions de Christopher Neff sont : "Si le public peut jouer un nouveau rôle en déterminant lui-même son niveau personnel de risque, alors un équilibre entre conservation et sécurité des plages devient plus probable." Donc, d'après les arguments des conservationnistes, ce serait à nous de modifier nos comportements, car le requin ne changera pas ses habitudes et en définitive ils tuent si peu de personnes, alors que nous tuons tant de requins. C'est comme si une parité devait s'établir entre nos deux espèces. Quel raisonnement tordu !
Et pour mesurer le risque personnel, encore faudrait-il être informé ! Ce n'était pas le cas aux Seychelles suite à l'attaque mortelle de Nicolas Virolle. Il n'y avait pas de drapeau sur la plage pour signaler le danger, une quinzaine de jours après, quand Ian Redmond s'est fait attaquer lors d'une plongée.
Le spécialiste conclut qu'il y a un besoin de gérer les perceptions du public et de limiter les réactions exagérées du gouvernement, un panel de solutions destiné à changer nos habitudes plutôt qu'à exercer un contrôle sur les requins. Et dans ce changement de nos comportements, il est attendu que le littoral échappe à notre contrôle.
Toujours d'après Chris Neff, les politiques ont mis en place des filets anti-requins, qui tuent des espèces en danger, pour calmer la peur des gens. Les tactiques utilisées par les politiques en résonance avec le public, sont mauvaises pour les requins
Une des recommandations de Neff : la sélection d'entrepreneurs politiques habiles et expérimentés est essentielle !
Il serait très facile de conclure que tout ceci est placer le poisson avant l'homme. Mais, ce serait trop simpliste et assez faux, car dans une ancienne vie, Neff était un lobbyist.
Il s'agit en fait d'un groupe de professionnels qualifiés avec un agenda, qui utilisent les requins pour influencer et contrôler l'opinion publique et les politiques, qui les représentent.
GEORGE BURGESS
Mr Burgess est le conservateur de l'ISAF, l'International Shark Attack File, le fichier international des attaques de requins, situé en Floride et exactement le genre "d'entrepreneur politique habile et expérimenté" que Christopher Neff décrit comme essentiel. Il n'est pas non plus favorable aux filets. Quand les medias veulent un expert en matière de phrases toutes faites sur les attaques de requins, George est incontestablement "le Papa".
Mais, étant donné les affirmations de Christopher Neff et son groupe d'intérêts du nous voulons croire, en opposition au partisan du réellement connu, pouvons nous croire George Burgess ? Les conservationnistes le font, sa ligne de conduite devient la leur, mais ils ne sont pas ceux qui vont se faire mordre ou être endeuillés.
George parle d'un mauvais concours de circonstances, qui fait qu'une attaque devienne apparemment inévitable et fait une liste des causes à partir des attaques passées, plutôt que de faire une recherche scientifique. Chaque élément déclencheur implique une contribution humaine et le requin est toujours considéré comme innocent.
Notre plus récente implication, dans le sillage des 12 attaques mortelles non-provoquées enregistrées, serait le tourisme.
"Nous avons essentiellement des attaques fatales dans des lieux reculés, où l'assistance médicale de qualité et en quantité n'est pas aisément accessible" dit George Burgess.
Mais, sur les 12 attaques, seulement 2 étaient des touristes, Nicolas Virolle et Ian Redmond aux Seychelles. Un troisième, George Wainwright, un Texan ayant un visa de travail, a été tué lors d'une plongée sous-marine en Australie. Les 9 autres étaient des locaux. Si on ajoute les 2 attaques mortelles provoquées, 11 étaient locaux.
Et dans tous les cas sauf un, un surfeur au Costa Rica, qui est décédé 5 jours plus tard, tous bénéficiaient d'assistance.Ian Redmond, en lune de miel aux Seychelles a été sorti de l'eau par un chirurgien. Kyle James Burden était à 45 mètres du bord en Australie de l'Ouest, quand il a été coupé en deux. Et les corps de Peter Clarkson (Australie) et Mathieu Schiller (Réunion) n'ont jamais été retrouvés. Les requins les ont pris.
Et à lire les commentaires de l'ISAF, je suppose que les plages de Floride sont dotées des suréquipements médicaux dernier cri. Pensez donc à prendre une copie de votre assurance, quand vous nagez, au cas où ! Ils en auraient peut-être besoin avant de vous soigner.
Et si vous avez la malchance d'être attaqué par un requin à 45 mètres du bord, dites-vous bien que le nageur le plus rapide du monde, Alain Bernard, mettrait plus de 20 secondes à vous atteindre, le temps que l'eau devienne toute rouge. Je garantis qu'il faudrait encore plus de temps pour le retour.
Est-ce que les Seychelles font partie des endroits reculés ? Avec un aéroport international depui 1971, une fréquentation touristique de 175.000 personnes en 2010, toutes sortes d'installations de loisirs et de la plongée sous-marine avec "Whitetip Divers" à "Shark Rock" !
Bien que l'ISAF enregistre 1 attaque non fatale aux Seychelles avant celle de Nicolas Virolle, sa mort n'a pas alerté les autorités pour éviter celle de Ian Redmond 15 jours après.
Et les Seychelles ont maintenant une fondation sur la recherche pour requins. Mais le consultant environnemental local, John Nevill m'a dit que les recherches sur les requins avaient commencé bien avant les évènements tragiques d'août 2011.
John est spécialisé sur les réalités des requins, plutôt que sur des "mauvais concours de circonstances" et contrairement à George Burgess toujours content de répondre à mes questions. Il m'a dit que la pêche au filet est interdite, il n'y a que les palangres d'utilisées. Les populations de requins ont diminué au fil du temps, mais 2 tigres et 1 bouledogue ont été capturés lors d'une même pêche.
Il est important de noter que George Burgess décrit les chasses aux requins en réponse aux pertes humaines comme malavisées, car :
a) Il est peu probable que ce soit le requin l'unique responsable,
b) les chances d'itentifier et de tuer un requin en particulier sont pratiquement nulles,
c) c'est une perte de temps et d'argent que de satisfaire un désir de vengeance.
Tout à fait vrai ! Cependant, ces chasses prouvent que les requins côtiers ne sont pas menacés, car nombreux sont ceux qui sont sédentarisés, comme aux Seychelles, étant établi qu'il y avait plus d'un mangeur d'hommes de localisé.
Le nombre d'attaques (non-provoquées) enregistrées pour 2011, selon l'ISAF était de 75, en baisse par rapport à l'année précédente, qui était de 81. Malgré tout, le nombre d'attaques n'a cessé de croître chaque décennie, depuis 1900, lié au fait que nous passons plus de temps dans l'eau, car, "le nombre d'interactions requin-homme survenant en une année donnée (sic) est à mettre directement en corrélation avec le temps que les humains passent dans l'eau".
Malgré tout, il est impossible d'extrapoler, sans savoir exactement le nombre de requins qui attaquent les humains en une année donnée (incalculable), et l'ISAF reconnait que toutes les attaques ne sont pas enregistrées, particulièrement dans les pays émergents. Ils comparent également la probabilité de mourir frappé par la foudre et celle de mourir d'une attaque de requins, sans faire de corrélation entre le temps que nous passons dans l'eau et celui que nous passons collectivement à la campagne.
La foudre ne choisit pas de nous frapper, alors que le requin choisit de nous mordre. La même chose pour les noix de coco ! Elles ne choisissent pas de tomber sur la tête de quelqu'un ! Donc, le besoin d'apaiser nos peurs en nous ofrrant des comparaisons sans aucun sens est exactement celà : sans aucun sens ! Les requins ne sont pas des tueurs stupides, mais quelques espèces attaquent et mordent intentionnellement les humains. Parfois, nous en mourons !
Même l'ISAF ne recommande pas une réaction passive face à une attaque de requin. Ce n'est probablement pas une erreur d'identité de la part du requin, comme souvent avancé. Quelle chances avez-vous de ne pas perdre beaucoup de sang ou un membre ? Vous luttez potentiellement pour votre survie, en vous donnant les moyens de le faire.
De façon inhabituelle, la Floride a échappé aux décès en 2011. Burgess attribue à la récession le fait que les gens soient moins allés dans l'eau. Il y avait effectivement moins de gens dans l'eau, pas à cause de la récession, mais à cause d'une énorme pollution, que Burgess aurait du voir depuis son bureau du Musée d'Histoire Naturelle de Floride. C'était tellement évident, qu'on la voyait depuis l'espace. Il s'agissait du Deepwater Horizon, la plus grande marée noire de l'Histoire, qui déversa l'équivalent de 5 millions de barils de pétrole brut, du 20 avril au 19 septembre 2010, dévastant les habitats marins, la pêche et le tourisme ! En juillet 2011, environ 800 km de côtes étaient encore contaminées, y compris la Floride, selon la NOAA, National Oceanic and Atmospheric Administration. En octobre2011, ils indiquèrent que le taux de mortalité pour les dauphins et les baleines était toujours 2 fois plus élevé que la moyenne.
Même si cela n'a rien à voir avec un seul requin, les gens ont été tenus à l'écart. Nous le savons, car BP (British Petroleum) a donné 25 millions de dollars à la Floride pour promouvoir les plages non polluées. La US Travel Association estimait un impact économique pour le tourisme sur 3 ans d'un excédent de 3 milliards de dollars. Le site de la catastrophe est au programme pour les visites touristiques de 2011/2012 avec ce slogan : " En avant pour 2011/2012, le défi sera de reconquérir les marchés perdus dans le partage d'un moment très difficile !"
George Burgess ne dit pas un mot sur Deepwater Horizon. il est après tout "un entrepreneur politique habile et expérimenté" et n'est pas sans savoir que l'industrie pétrolière finance la protection des requins à travers des fondations caritatives. Dans la catégorie poids lourds, il y a PEW, fondée sur les bénéfices du groupe pétrolier Sunoco. Ils ne gagnent pas d'argent avec les requins, mais ils développent ainsi leurs portefeuilles immobiliers océaniques, à travers la création de sanctuaires de requins et d'aires marines protégées. Certaines aires ont la taille de l'Arabie Saoudite.
Les ressources marines sont d'un grand intérêt pour ces fondations. Quelques 25% du pétrole et du gaz non-découverts sont dans les océans. Et c'est votre océan ! Les Nations Unies l'ont donné à toute l'humanité, et il n'y a aucune clause qui stipule qu'il doive être géré par des fondations caritatives de compagnies pétrolières.
Par conséquent, je ne ferai pas confiance à George Burgess. Les 12 attaques mortelles de 2011 ont tout à voir avec des personnes qui étaient dans l'eau en présence de requins, mais rien à voir avec le fait qu'elles portaient des boucles d'oreilles ou pas.
La protection des requins a été achetée, infiltrée et envahie par une cabale avec des porte-voix et un agenda qui n'a rien à voir avec la protection des requins, mais tout à voir avec l'acquisition de grandes parts de notre plus grande ressource naturelle. Ils utilisent simplement les requins comme des posters pour enfants afin d'influencer et contrôler le public et les politiques qui le représente.
"Donner" et "Signer la pétition". On connaît. Et nagez à vos risques et périls ."
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samedi 20 octobre 2012
Christophe Allary, Romain Cloitre, Maxime Huscenot, Kieran Bulard
saint leu !!!!!
Winter session 2K12 Reunion Island
vimeo.com
Un gros résumé des meilleures sessions de la premiere partie de l'hiver. Merci aux riders : Christophe Allary, Romain Cloitre, Maxime Huscenot, Kieran Bulard, Jason Apparicio, Tristan Guilbaud, Hugo Dubosc, David Grainville, Alain Riou, Raphael Brun Malheureusement suite aux dernières attaques de requin, le surf réunionnais est en deuil. Nous attendons que des solutions soient trouvées afin de comprendre cette explosion du nombre d'attaque et de limiter les risques. Les requins ont toujours été là et il y a toujours eu des attaques mais à raison d'une par an. Depuis 18 mois les attaques, les approches et les touchettes se multiplient : 3 morts, 3 amputations, 3 attaques sur des boards sans que la personne soit bléssée, plus diverses temoignages inquietants (pas des "une personne m'a dit") que vous ne retrouvez pas dans les médias. L'origine du problème reste à déterminer(baisse des stocks de poissons, réserve marine, qualité des eaux cotières en forte baisse donc propice au bouledogue...). Des cas similaires ont eu lieu à Récif au Bresil suite à la modification de l'ecosystème du bouledogue. Rapellons que le requin bouledogue est sédentaire, territorial (il defend son territoire), qu'il chasse en groupe et qu'il n'a plus de prédateur à La Réunion. Sa population a très certainement augmenté depuis qu'on ne le pêche plus. Les associations des usagers de la mer demandent à ce qu'on REGULE la population de bouledogue. Ils ne demandent pas l'extermination des bouledogues comme cela a été dit de façon caricaturale dans plusieurs médias. Quand une population de sangliers est trop importante ont la régule par la chasse. D'autre part le prélèvement des autres types de requin migrateur (tigre) est inutile. Les surfeurs passent actuellement pour des bouchers sanguinaires mais que ce passera t'il quand ce sera des baigneurs comme aux Seychelles l'année dernière... Des opportunistes tentent de démontrer qu'il n'y aucun danger en nageant au large... Music : St Germain
asp péniche surf
20/10/2012
Rip Curl Pro Portugal : Tous perdants
RIP CURL PRO PORTUGAL – PENICHE (World Tour) Bien malgré lui, Julian Wilson (photo) a hérité d'un nouveau surnom à l'issue de sa victoire, vendredi, au Rip Curl Pro Portugal : le "voleur de Peniche". Nombre d'observateurs avisés, supporters dépités de Gabriel Medina et quelques surfeurs du Tour (Simpson, Patacchia) n'ont pas manqué de crier au scandale après que les juges ont fait pencher in-extremis la balance en faveur de l'Australien, au détriment du Brésilien, au sortir d'une finale qui ne restera pas dans les annales. Ou seulement pour son insoutenable suspense post buzzer.
Cette énième polémique vient décrédibiliser un peu plus – si c'est encore possible – l'Association of Surfing Professionnals (ASP). Déjà, début avril, la finale du Rip Curl Pro Bell's Beach remportée par Mick Fanning aux dépens de Kelly Slater avait donné matière à controverse. Le King avait alors sagement éteint l'incendie : "Juger, c'est une opinion et une perception. Et non avoir tort ou avoir raison". En 2012 toujours, Jérémy Florès a également fait les frais de jugements parfois déroutants, notamment lors de son quart de finale "perdu", fin août à Tahiti, face à Joel Parkinson. À Peniche, cette semaine, Matt Wilkinson et Tiago Pirès ont pu à leur tour se sentir lésés. Et ne sont recensés ici que les cas les plus flagrants de ces derniers mois.
Incompétence et incohérence des juges, favoritisme des marques pour le surfeur maison, complot anti-européen, anti-brésilien et quoi d'autre encore... tout et son contraire est avancé à longueur de temps pour justifier ou infirmer tel ou tel résultat. C'en est assez ! Plus une épreuve du World Tour ne se déroule sans qu'elle ne suscite la polémique. Qu'elle soit fondée ou abusive, cette suspicion quasi-systématique doit cesser. Il appartient désormais aux pontes de l'ASP d'agir en toute transparence et d'uniformiser une bonne fois pour toute un système de notation opaque et soit-disant sous influence, qui fait actuellement la part belle à la subjectivité – néanmoins inhérente à toute discipline soumise à un jugement –, au préjudice de l'objectivité.
Entre une ASP brocardée et ridiculisée, un Julian Wilson vainqueur injustement déprécié, et un Gabriel Medina (photo) sincère mais inélégant dans la défaite, un point commun : tout le monde est sorti perdant de cette finale du Rip Curl Pro Portugal. Un gros gâchis.
Photos © ASP / Cestari
Stephanie Créer votre blog Retourner vers SudOuest.fr Bienvenue ! Je suis journaliste sportif au sein du quotidien régional "Sud Ouest". Retrouvez sur "Planète Surf" toute l'actualité de l'ASP World Tour, le circuit mondial qui fait référence dans l'univers du surf, mais également celle des compétitions annexes. Bon surf ! Vincent Martin Planète Surf vincentmartin99 DjePhotographer Dans le mille !!!!! fb.me/1IStUpIwK 2 hours ago · reply · retweet · favorite Vincent_Rz A lire! -->RT @vincentmartin99 #RipCurlPro Portugal : un gagnant, vraiment ? bit.ly/WyPj7r 3 hours ago · reply · retweet · favorite vincentmartin99 #RipCurlPro Portugal : un gagnant, vraiment ? bit.ly/WyPj7r 3 hours ago · reply · retweet · favorite JeanSebEstienne Le Royal Barrique a eu lieu !! #royalbarrique cc @estimasso @clement_demange pic.twitter.com/r5xK0X0q 4 hours ago · reply · retweet · favorite Join the conversation Damo vs sardines à Peniche OCTOBRE 2012 Au 2e tour du Rip Curl Pro Portugal, l'Américain Damien Hobgood a fait une drôle de rencontre... en plein tube, avec des sardines ! Romain Cloître à la Réunion OCTOBRE 2012 Chez lui à la Réunion, le surfeur français fait parler son surf puissant et varié. Shane Dorian à Jaws OCTOBRE 2012 L'hiver s'annonce à Hawaii : un swell massif a déjà servi des monstres de plus de 7 mètres à Jaws. Bien sûr, Shane Dorian était là. Barrels backside avec Jérémy Florès OCTOBRE 2012 Jérémy Florès, Skeleton Bay, Namibie. Splendide. L'été indien d'Adrian Buchan OCTOBRE 2012 Les beach breaks français visités fin septembre et début octobre par l'Australien du Top 34, Adrian Buchan. Taj Burrow, bye bye la France OCTOBRE 2012 Florilège des vagues surfées par l'Australien de l'élite, fin septembre et début octobre, sur les beach breaks français. Septembre avec Jérémy Florès SEPTEMBRE 2012 Entre Landes et Californie, le Réunionnais a enchaîné quelques jolies sessions de free surf, compilées dans cette vidéo. 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Kelly Slater, meilleur athlète de tous les temps ? 14/07/2012 Reine de Biarritz, Gilmore s'offre un 5e titre mondial En remportant pour la seconde année d'affilée le Roxy Pro Biarritz, l'Australienne Stephanie Gilmore, ici entourée sur le podium de Coco Ho et Tyler Wright, a conquis son 5e titre mondial. Photo © ASP / Aquashot / Damien Poullenot ROXY PRO BIARRITZ – FRANCE (Women's World Tour / Jour final) Un troisième succès cette saison sur le Dream Tour, une seconde victoire consécutive au Roxy Pro Biarritz et un cinquième titre mondial après les quatre conquis entre 2007 à 2010 : Stephanie Gilmore est une surfeuse comblée. En se montrant la meilleure ce samedi après-midi sur les vagues capricieuses de la Grand Plage (1-1,5 mètre), l'Australienne de 24 ans a également profité de la sortie de route surprise dès les quarts de finale de Sally Fitzgibbons, en pleurs après sa défaite face à Coco Ho, pour coiffer la couronne mondiale 2012, à une étape du terme du Women's World Tour. "Je me suis réveillée ce (samedi) matin en pensant que ça n’arriverait pas aujourd’hui, a déclaré celle qui dépasse désormais en nombre de titres mondiaux Freida Zamba (USA), Wendy Botha (Aus) et Lisa Andersen (USA). "Mais au fil de la journée, je me suis mis à y croire. La France est un pays si accueillant, être encouragée par autant de gens sur la plage, c’est très touchant. Je crois que je vais me mettre à pleurer. Cette année, j’ai décidé de me consacrer à retrouver ma constance et du plaisir à surfer. Entre mes débuts parmi l’élite il y a cinq ans et maintenant, le surf féminin à tellement progressé. C’est vraiment un honneur d’être de retour au plus haut niveau, les autres surfeuses m’ont poussée vers le haut tous les jours." Ce retour au premier plan après une saison 2011 gâchée par une agression subie fin 2010, Steph Gilmore l'a enclenché dès la première épreuve de la saison, à Snapper Rocks, en s'imposant pour la quatrième fois de sa carrière au Roxy Pro Gold Coast. La confiance enfin retrouvée, la surfeuse de Murwillumbah a ensuite enchaîné avec une finale au Rip Curl Bells Beach (battue par Fitzgibbons) puis sur un vingtième succès sur le Dream Tour en Nouvelle-Zélande, à Taranaki. Moins en vue lors des deux contests suivants, avec deux quarts au Beachley Classic à Sydney et au Billabong Rio Pro, l'Australienne se trouvait néanmoins en position de pouvoir s'offrir son cinquième titre mondial, cette semaine, en débarquant au Pays Basque. Il fallait pour cela qu'elle s'impose, comme l'an dernier, sur le beachbreak biarrot en espérant que sa rivale et compatriote Sally Fitzgibbons n'atteigne pas la finale du contest. On sait ce qu'il advint. Steph Gilmore. Photo © ASP / Aquashot / Damien Poullenot Difficile pourtant, ce matin, d'imaginer pareil scénario tant Fitzgibbons avait paru, vendredi, maîtriser son sujet aux rounds 2 et 3 après un 1er tour raté. Seulement voilà, le surf radical et puissant de l'Hawaiienne Coco Ho l'a démoralisée. Ne laissant à la double – et peut-être bientôt triple – vice-championne du monde que ses (beaux) yeux pour pleurer. Restait cependant encore à Steph Gilmore a accomplir sa part du travail. À l'aise en quarts de finale face à Malia Manuel (13,57-10,00), même si elle s'en défendit à sa sortie de l'eau, la surfeuse du team Quiksilver Women allait forcément souffrir en demie contre Carissa Moore, pour un remake de la finale 2011. Impressionnante depuis le début de la compétition, la championne du monde hawaiienne semblait en mesure de repousser à début août et au Nike US Open of Surfing, étape clôturant le Women's World Tour 2012, l'attribution du titre mondial. Accrochée jusqu'à moins de dix minutes du terme du heat, Steph Gilmore se détachait irrémédiablement grâce à deux vagues saupoudrées de turns parfaitement exécutés (17,10-12,50). Steph Gilmore savoure son triomphe avant de rejoindre la foule massée sur la Grande Plage. Photo Greg Rabejac / Roxy En finale, 100 % australienne face à Tyler Wright (18,53-13,10), la future quintuple championne du monde a fait parler la poudre, ne rompant pas sous la pression du sacre approchant et claquant comme dans un rêve en cinq minutes, entre la 20e et la 15e, un 9,00 puis un 9,53 en récompense d'énormes turns envoyés lors de ses cinquième et sixième tentatives ! La foudre Gilmore venait de s'abattre sur Wright, définitivement combo malgré une belle réaction dans la foulée, qui méritait mieux que le 8,00 alloué. Du haut de ses sept titres mondiaux, l'Australienne Layne Beachley peut commencer à s'inquiéter. À seulement 24 ans, Steph Gilmore a retrouvé le rang qui lui va comme un gant. Le premier. Steph Gilmore avec, dans les bras, son trophée de championne du monde. Le 5e de son impressionnante collection. Photo © ASP / Aquashot / Damien Poullenot La finale : 1.Stephanie Gilmore (AUS) 18,53 2. Tyler Wright (AUS) 13,10 Les demi-finales : SF 1 : Tyler Wright (AUS) 14,66 def. Coco Ho (HAW) 9,37 SF 2 : Stephanie Gilmore (AUS) 17,10 def. Carissa Moore (HAW) 12,50 Les quarts de finale : QF 1 : Tyler Wright (AUS) 11,37 def. Courtney Conlogue (USA) 10,53 QF 2 : Coco Ho (HAW) 12,60 def. Sally Fitzgibbons (AUS) 8,76 QF 3 : Stephanie Gilmore (AUS) 13,57 def. Malia Manuel (HAW) 10,00 QF 4 : Carissa Moore (HAW) 16,33 def. Laura Enever (AUS) 12,07 À Biarritz, Sally Fitzgibbons a dit adieu à ses espoirs de premier titre mondial. Photo © ASP / Aquashot / Damien Poullenot ♦ ASP Women's World Tour 2012 : 1. Roxy Pro Gold Coast, Australie : Stephanie GILMORE (Aus) 2. Rip Curl Pro Bells Beach, Australie : Sally FITZGIBBONS (Aus) 3. TSB Bank NZ Surf Festival Taranaki, Nouvelle-Zélande : Stephanie GILMORE (Aus) 4. Commonwealth Beachley Classic Dee Why, Australie : Courtney CONLOGUE (USA) 5. Billabong Rio Pro, Brésil : Sally FITZGIBBONS (Aus) 6. Roxy Pro Biarritz, France : Stephanie GILMORE (Aus) 7. Nike US Open of Surfing, États-Unis (Californie) : 30 juillet - 5 août ♦ Le Top 10 du Women's World Tour après le Roxy Pro Biarritz (6/7) : 1. Stephanie Gilmore (AUS) [WORLD CHAMPION], 48400 pts 2. Sally Fitzgibbons (AUS), 42100 pts 3. Tyler Wright (AUS), 36700 pts 4. Carissa Moore (HAW), 36700 pts 5. Courtney Conlogue (USA), 34800 pts 6. Laura Enever (AUS), 32800 pts 7. Malia Manuel (HAW), 31600 pts 8. Coco Ho (HAW), 28400 pts 9. Lakey Peterson (USA), 27000 pts 10. Rebecca Woods (AUS), 22000 pts ... 14. Pauline Ado (FRA), 13950 pts 16. Justine Dupont (FRA), 12750 pts Seuls les six meilleurs résultats de chaque surfeuse sont conservés à l'issue de la saison. À l'issue de la saison, les surfeuses qui terminent dans le top 10 du Women's World Tour sont requalifiées pour l'année suivante, auxquelles s'ajoutent les six mieux classées du World Ranking (hors top 10 du WWT) et une wild card permanente. (Photo Félix Dufour) 17:03 Publié dans ASP Women's World Tour, Roxy Pro Biarritz | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note | Tags : surf, asp, women's world tour, cote des basques, roxy pro biarritz, gilmore, fitzgibbons, ado, dupont, photo, video, moore, conlogue, enever, wright, manuel, peterson, ho, defay, hareb, mulanovich Les quarts déterminés au Roxy Pro Biarritz L'Australienne Steph Gilmore peut être sacrée, cet après-midi à Biarritz, championne du monde pour la cinquième fois de sa carrière. Photo © ASP / Damien Poullenot ROXY PRO BIARRITZ – FRANCE (Women's World Tour / Jour final) Le Roxy Pro Biarritz est entré, ce samedi matin, dans sa dernière ligne droite. Déplacée comme prévu sur la Grande Plage, la compétition a pu démarrer malgré un spot brouillon (fort vent onshore) et des petites vagues d'un peu plus d'un mètre environ. Qualifiées directement, dès vendredi, pour les quarts de finale de cette sixième et avant-dernière manche du Women's World Tour 2012, Steph Gilmore (Aus), Sally Fitzgibbons (Aus), Tyler Wright (Aus) et Carissa Moore (Haw) ont été rejointes dans la matinée par l'Américaine Courtney Conlogue (USA), les Hawaiiennes Coco Ho et Malia Manuel, et l'Australienne Laura Enever. Huit des neuf premières surfeuses au classement du WWT (manque Lakey Peterson, éliminée au 4e tour) sont ainsi présentes au rendez-vous des phases finales de ce Roxy Pro Biarritz, qui pourrait permettre à Steph Gilmore (24 ans) d'être sacrée championne du monde pour la cinquième fois de sa carrière. Il faut pour cela que l'Australienne remporte le contest biarrot et que dans le même temps Sally Fitzgibbons (21 ans) n'atteigne pas la finale. Sinon, le titre mondial 2012 se jouera du 30 juillet au 5 août à l'occasion de la dernière étape de la saison, au Nike US Open of Surfing (Californie). La compétition continue avec le lancement des quarts de finale. Le 4e tour (de repêchage, à élimination directe) : Heat 1 : Courtney Conlogue (USA) 11,40 def. Lakey Peterson (USA) 9,50 Heat 2 : Coco Ho (HAW) 11,67 def. Rebecca Woods (AUS) 8,77 Heat 3 : Malia Manuel (HAW) 12,10 def. Paige Hareb (NZL) 9,16 Heat 4 : Laura Enever (AUS) 12,13 def. Sofia Mulanovich (PER) 8,66 Les quarts de finale : QF 1 : Tyler Wright (AUS) vs. Courtney Conlogue (USA) QF 2 : Sally Fitzgibbons (AUS) vs. Coco Ho (HAW) QF 3 : Stephanie Gilmore (AUS) vs. Malia Manuel (HAW) QF 4 : Carissa Moore (HAW) vs. Laura Enever (AUS) Suivre aussi le LIVE du Roxy Pro Biarritz → ICI 11:38 Publié dans ASP Women's World Tour, Roxy Pro Biarritz | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note | Tags : surf, asp, women's world tour, cote des basques, roxy pro biarritz, gilmore, fitzgibbons, ado, dupont, photo, video, moore, conlogue, enever, wright, manuel, peterson, ho, defay, hareb, mulanovich 13/07/2012 Déjà fini pour les Françaises au Roxy Pro Biarritz ROXY PRO BIARRITZ – FRANCE (Women's World Tour / Jour 4) Pauline Ado, Justine Dupont, Johanne Defay : aucune des trois Françaises engagées au Roxy Pro Biarritz n'a pu franchir, ce vendredi, le 2e tour de la sixième et avant-dernière étape du Women's World Tour 2012. Si pour Defay (18 ans), détentrice d'une wild card, l'expérience d'une première participation à une épreuve du Dream Tour ne pourra être que bénéfique pour la suite de sa carrière, le couperet est tombé pour Ado et Dupont sur le beachbreak basque : l'Hendayaise aux deux saisons consécutives dans l'élite et la rookie canaulaise n'ont désormais plus aucune chance de s'y maintenir par le biais du World Tour. Les deux surfeuses tricolores devront tout miser sur le circuit WQS (1) afin de se requalifier pour 2013. Largement dans les cordes de Pauline Ado, actuellement 4e et potentiellement première qualifiée au World Ranking ; beaucoup plus incertain s'agissant de Justine Dupont (71e), qui paye sa blessure du début de saison. Justine Dupont. Photo © ASP / Damien Poullenot Après trois jours à attendre la houle, celle-ci a fait une belle entrée sur la Côte des Basques (1 à 1,5 mètre), permettant au contest d'accomplir (enfin) ses trois premiers tours. Deux seulement auront donc suffi à éteindre les espoirs français. Le 1er round matinal avait déjà donné le ton, Pauline Ado et Johanne Defay se classant dernières de leur heat respectif sans donner l'impression de pouvoir inverser la tendance, tandis qu'une Justine Dupont concernée et enthousiaste avait eu le malheur de tomber sur une Carissa Moore intraitable. Dans des vagues de plus en plus consistantes au fil de l'après-midi avant qu'un fort vent onshore ne vienne troubler la fin de journée, Johanne Defay a été la première Française à disparaître du tableau, victime d'une option sud du line-up non-payante et surtout d'une Sally Fitzgibbons bien plus réveillée que lors de son 1er tour. L'Australienne a scoré face à Defay la top vague du jour (9,50) et le meilleur total (18,15). "Le premier round était difficile en raison du peu de vagues", a commenté Sally Fitzgibbons, qui devra impérativement être présente en finale samedi si sa compatriote et néanmoins rivale Steph Gilmore venait à remporter le contest. Ceci pour prolonger jusqu'à début août en Californie leur duel pour le titre mondial 2012 (2). "Je manquais de rythme mais je suis persuadée que cette série m’a remise dans le coup. Je suis confiante dans mon surf et j’ai su trouver les bonnes vagues. Les bancs de sable français sont imprévisibles et j’ai passé mon temps à essayer d’anticiper l’évolution des vagues. Le spot de la Côte des Basques change toutes les cinq minutes mais ça m’amuse d’essayer de trouver les meilleures vagues." Sally Fitzgibbons. Photo © ASP / Damien Poullenot À l'instar de son bon 1er tour, Justine Dupont s'est encore montrée à la hauteur en repêchage, mais est de nouveau tombée sur une surfeuse sûre de son surf : l'Hawaiienne Coco Ho, victorieuse 16,00-15,15 après avoir fait la différence sur la fin. L'élimination (10,65-7,50) sera plus difficile encore à digérer pour Pauline Ado, sans rythme sur un plan d'eau soudainement devenu tout mou, et surprise par une Paige Hareb, pas mécontente de prendre sa revanche de Rio. Le lancement dans la foulée du 3e tour a permis aux favorites de ce Roxy Pro de rallier directement les quarts de finale, à savoir les Australiennes Tyler Wright, Sally Fitzgibbons et la tenante du titre à Biarritz Steph Gilmore, ainsi que l'Hawaiienne Carissa Moore. Le call de samedi, ultime jour de la waiting period qui décidera de la lauréate de cette édition 2012, sera donné à 9 heures sur la Grande Plage de Biarritz où la compétition sera déplacée. Des conditions conséquentes sont attendues (2 mètres), mais un fort vent onshore devrait venir jouer les trouble-fête. (1) À l'issue de la saison, les surfeuses qui terminent dans le top 10 du Women's World Tour sont requalifiées pour l'année suivante, auxquelles s'ajoutent les six mieux classées du World Ranking (hors top 10 du WWT) et une wild card permanente. (2) Carissa Moore et Courtney Conlogue sont également encore mathématiquement dans la course au titre mondial. → Top vague et meilleur total du Jour 4 signés Sally Fitzgibbons ↓ Courtney Conlogue. Photo © ASP / Damien Poullenot Le 1er tour (les premières de chaque série qualifiées directement pour le 3e tour) : Heat 1 : Courtney Conlogue (USA) 14.50, Sarah Mason (NZL) 13.15, Coco Ho (HAW) 9.00 Heat 2 : Tyler Wright (AUS) 12.05, Lakey Peterson (USA) 10.65, Sage Erickson (USA) 8.10 Heat 3 : Rebecca Woods (AUS) 11.30, Sally Fitzgibbons (AUS) 10.00, Johanne Defay (FRA) 6.60 Heat 4 : Stephanie Gilmore (AUS) 13.20, Paige Hareb (NZL) 10.80, Jacqueline Silva (BRÉ) 7.75 Heat 5 : Carissa Moore (HAW) 17.30, Justine Dupont (FRA) 14.90, Sofia Mulanovich (PER) 5.00 Heat 6 : Laura Enever (AUS) 14.50, Malia Manuel (HAW) 12.15, Pauline Ado (FRA) 7.40 Le 2e tour (de repêchage, à élimination directe) : Heat 1 : Sofia Mulanovich (PER) 12.75 def. Sarah Mason (NZL) 12.40 Heat 2 : Lakey Peterson (USA) 15.25 def. Sage Erickson (USA) 13.35 Heat 3 : Sally Fitzgibbons (AUS) 18.15 def. Johanne Defay (FRA) 11.00 Heat 4 : Malia Manuel (HAW) 15.75 def. Jacqueline Silva (BRÉ) 11.00 Heat 5 : Coco Ho (HAW) 16.00 def. Justine Dupont (FRA) 15.15 Heat 6 : Paige Hareb (NZL) 10.65 def. Pauline Ado (FRA) 7.50 Le 3e tour (les premières de chaque série qualifiées directement pour les quarts) : Heat 1 : Tyler Wright (AUS) 15.10, Courtney Conlogue (USA) 14.40, Rebecca Woods (AUS) 11.30 Heat 2 : Sally Fitzgibbons (AUS) 13.40, Coco Ho (HAW) 11.55, Lakey Petersen (USA) 8.35 Heat 3 : Stephanie Gilmore (AUS) 16.00, Malia Manuel (HAW) 13.70, Sofia Mulanovich (PER) 9.60 Heat 4 : Carissa Moore (HAW) 14.00, Laura Enever (AUS) 9.25, Paige Hareb (NZL) 6.10 Tyler Wright. Photo © ASP / Damien Poullenot Le 4e tour (de repêchage, à élimination directe, à venir) : Prochain call samedi à 9 heures, sur la Grande Plage de Biarritz Heat 1 : Courtney Conlogue (USA) vs. Lakey Peterson (USA) Heat 2 : Coco Ho (HAW) vs. Rebecca Woods (AUS) Heat 3 : Malia Manuel (HAW) vs. Paige Hareb (NZL) Heat 4 : Laura Enever (AUS) vs. Sofia Mulanovich (PER) Les quarts de finale (à élimination directe, à venir) : QF 1 : Tyler Wright (AUS) vs. Courtney Conlogue (USA) ou Lakey Peterson (USA) QF 2 : Sally Fitzgibbons (AUS) vs. Coco Ho (HAW) ou Rebecca Woods (AUS) QF 3 : Stephanie Gilmore (AUS) vs. Malia Manuel (HAW) ou Paige Hareb (NZL) QF 4 : Carissa Moore (HAW) vs. Laura Enever (AUS) ou Sofia Mulanovich (PER) Suivre en LIVE le Roxy Pro Biarritz → ICI 23:17 Publié dans ASP Women's World Tour, Roxy Pro Biarritz | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note | Tags : surf, asp, women's world tour, cote des basques, roxy pro biarritz, gilmore, fitzgibbons, ado, dupont, photo, video, moore, conlogue, enever, wright, manuel, peterson, ho, defay, hareb En direct : c'est parti au Roxy Pro Biarritz ! ROXY PRO BIARRITZ – FRANCE (Women's World Tour / Jour 4) Tout vient à qui sait attendre, et en particulier aux surfeuses du Roxy Pro Biarritz ! Après trois jours sans compétition, la sixième et avant-dernière étape du Women's World Tour a enfin débuté, ce vendredi matin, dans les petites vagues (moins d'un mètre) de la Côte des Basques. L'Américaine Courtney Conlogue et l'Australienne Tyler Wright sont les premières qualifiées direct pour le 3e tour. À suivre EN DIRECT ci-dessus ! Revivez en photos la journée "off" de jeudi → ICI Le 1er tour (les premières de chaque série qualifiées directement pour le 3e tour) : Heat 1 : Courtney Conlogue (USA), Coco Ho (HAW), Sarah Mason* (NZL) Heat 2 : Tyler Wright (AUS), Lakey Peterson (USA), Sage Erickson (USA) Heat 3 : Sally Fitzgibbons (AUS), Rebecca Woods (AUS), Johanne Defay (Fra, wild card) Heat 4 : Stephanie Gilmore (AUS), Paige Hareb (NZL), Jacqueline Silva (BRÉ) Heat 5 : Carissa Moore (HAW), Sofia Mulanovich (PER), Justine Dupont (FRA) Heat 6 : Laura Enever (AUS), Malia Manuel (HAW), Pauline Ado (FRA) *Remplace la Brésilienne Silvana Lima, blessée. Le site du Roxy Pro sur la Côte des Basques. Photo Rabejac / Roxy Suivre aussi le LIVE du Roxy Pro Biarritz → ICI 08:35 Publié dans ASP Women's World Tour, Roxy Pro Biarritz | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note | Tags : surf, asp, women's world tour, cote des basques, roxy pro biarritz, gilmore, fitzgibbons, ado, dupont, photo, moore, conlogue, enever, wright, manuel, peterson, ho, defay 12/07/2012 Roxy Pro Biarritz - Jour 3 : galerie photos ROXY PRO BIARRITZ – FRANCE (Women's World Tour / Jour 3) La compétition est donc de nouveau restée en stand by, ce jeudi sur la Côte des Basques, alors que la waiting period du Roxy Pro Biarritz touche à sa fin samedi et que le 1er tour n'a toujours pas pu être lancé. Heureusement, une amélioration sensible des conditions est attendue pour vendredi et surtout samedi (malgré du possible vent on shore). C'est dire si les surfeuses du Dream Tour ne vont pas chômer à partir de demain et enchaîner les séries pour arriver au bout du contest dans les temps. En attendant le lancement (enfin) de la compétition, voici quelques photos de ce jour 3 "off" : Crédit photos : Vincent Martin La Française Pauline Ado à la sortie d'une free session Pas de compétition ce jeudi ? L'Hawaiienne Coco Ho range ses planches... Espiègle Carissa Moore, la championne du monde hawaiienne, ici aux côtés de Lisa Andersen, ancienne quadruple championne du monde et directrice de la compétition sur le Roxy Pro Du chaud soleil pour ce troisième jour du Roxy Pro mais peu de vagues. L'Américaine Courtney Conlogue a, elle, pris le parti d'aller surfer avec... un dauphin en plastique ! Avant d'entamer par les rochers le retour dans la zone mixte du Roxy Pro... Agile comme un chat, Courtney... ... et contente d'être (presque) arrivée au "sommet" ! Place au repos (bien mérité) pour la guerrière Conlogue, avant les deux grosses journées de compétition à venir. La Canaulaise Justine Dupont a tout de même pu profiter d'une free session Après l'annonce du report du call à vendredi, l'Américaine Lakey Peterson a décidé de tester les petites vagues de la Côte des Basques Le 1er tour (les premières de chaque série qualifiées directement pour le 3e tour) : Prochain call vendredi à 7 heures Heat 1 : Courtney Conlogue (USA), Coco Ho (HAW), Sarah Mason* (NZL) Heat 2 : Tyler Wright (AUS), Lakey Peterson (USA), Sage Erickson (USA) Heat 3 : Sally Fitzgibbons (AUS), Rebecca Woods (AUS), Johanne Defay (Fra, wild card) Heat 4 : Stephanie Gilmore (AUS), Paige Hareb (NZL), Jacqueline Silva (BRÉ) Heat 5 : Carissa Moore (HAW), Sofia Mulanovich (PER), Justine Dupont (FRA) Heat 6 : Laura Enever (AUS), Malia Manuel (HAW), Pauline Ado (FRA) *Remplace la Brésilienne Silvana Lima, blessée. Suivre en LIVE le Roxy Pro Biarritz → ICI 18:20 Publié dans ASP Women's World Tour, Roxy Pro Biarritz | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note | Tags : surf, asp, women's world tour, cote des basques, roxy pro biarritz, gilmore, fitzgibbons, ado, dupont, photo, moore, conlogue, enever, wright, manuel, peterson, ho, defay Les vagues se font désirer au Roxy Pro Biarritz En attendant le début du Roxy Pro, les longboardeuses, à l'image ici de la Réunionnaise Justine Mauvin, ont assuré le spectacle, hier mercredi, lors du Kassia Invitational. Photo © ASP / Marion Dussarrat ROXY PRO BIARRITZ – FRANCE (Women's World Tour / Jour 3) Le troisième jour du Roxy Pro Biarritz a débuté, ce jeudi, de manière identique aux deux précédents : par un report du call matinal, faute de conditions suffisantes sur la Côte des Basques (moins d'un mètre). Fixé initialement à 7 heures, le lancement des séries du 1er tour a été reporté à 14 h 30 (call à 14 heures), même si une amélioration de la houle est plutôt prévue pour vendredi, et surtout samedi (2 mètres espérés !), dernier jour de la waiting period de cette sixième et avant-dernière étape du Women's World Tour. MISE À JOUR (16h) : OFFICIEL, troisième jour consécutif sans compétition au Roxy Pro Biarritz, toujours faute de conditions suffisantes sur la Côte des Basques pour lancer le 1er tour. Le prochain call est fixé à vendredi, 7 heures, avant-dernier jour de la waiting period. Le 1er tour (les premières de chaque série qualifiées directement pour le 3e tour) : Prochain call vendredi à 7 heures Heat 1 : Courtney Conlogue (USA), Coco Ho (HAW), Sarah Mason* (NZL) Heat 2 : Tyler Wright (AUS), Lakey Peterson (USA), Sage Erickson (USA) Heat 3 : Sally Fitzgibbons (AUS), Rebecca Woods (AUS), Johanne Defay (Fra, wild card) Heat 4 : Stephanie Gilmore (AUS), Paige Hareb (NZL), Jacqueline Silva (BRÉ) Heat 5 : Carissa Moore (HAW), Sofia Mulanovich (PER), Justine Dupont (FRA) Heat 6 : Laura Enever (AUS), Malia Manuel (HAW), Pauline Ado (FRA) *Remplace la Brésilienne Silvana Lima, blessée. Suivre en LIVE le Roxy Pro Biarritz → ICI 08:55 Publié dans ASP Women's World Tour, Roxy Pro Biarritz | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note | Tags : surf, asp, women's world tour, cote des basques, roxy pro biarritz, gilmore, fitzgibbons, ado, dupont, photo, moore, conlogue, enever, wright, manuel, peterson, ho, defay, kassia invitational, justine mauvin 11/07/2012 Le Roxy Pro Biarritz toujours en attente La Côte des Basques. Photo Affif / Roxy ROXY PRO BIARRITZ – FRANCE (Women's World Tour / Jour 2) Prévu initialement ce mercredi à 7 heures, le call du deuxième jour du Roxy Pro Biarritz est reporté à 14 heures. Après un premier jour "off" ce mardi, les conditions restent pour le moment insuffisantes pour lancer la compétition, dont la waiting period s'étire jusqu'à samedi. MISE À JOUR (14h10) : OFFICIEL, second jour consécutif sans compétition au Roxy Pro Biarritz, faute de conditions suffisantes sur la Côte des Basques pour lancer le 1er tour. Le prochain call est fixé à jeudi, 7 heures.. Le 1er tour (les premières de chaque série qualifiées directement pour le 3e tour) : Prochain call jeudi à 7 heures Heat 1 : Courtney Conlogue (USA), Coco Ho (HAW), Sarah Mason* (NZL) Heat 2 : Tyler Wright (AUS), Lakey Peterson (USA), Sage Erickson (USA) Heat 3 : Sally Fitzgibbons (AUS), Rebecca Woods (AUS), Johanne Defay (Fra, wild card) Heat 4 : Stephanie Gilmore (AUS), Paige Hareb (NZL), Jacqueline Silva (BRÉ) Heat 5 : Carissa Moore (HAW), Sofia Mulanovich (PER), Justine Dupont (FRA) Heat 6 : Laura Enever (AUS), Malia Manuel (HAW), Pauline Ado (FRA) *Remplace la Brésilienne Silvana Lima, blessée. Suivre en LIVE le Roxy Pro Biarritz → ICI 09:02 Publié dans ASP Women's World Tour, Roxy Pro Biarritz | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note | Tags : surf, asp, women's world tour, cote des basques, roxy pro biarritz, gilmore, fitzgibbons, ado, dupont, photo, moore, conlogue, enever, wright, manuel, peterson, ho, defay 10/07/2012 Premier jour "off" au Roxy Pro Biarritz Ce mardi, 13 heures : Justine Dupont va goûter aux petites vagues de la Côte des Basques. Photo Vincent Martin ROXY PRO BIARRITZ – FRANCE (Women's World Tour / Jour 1) Faux départ pour le Roxy Pro Biarritz ! Comme les prévisions l'avaient laissé craindre, les conditions ne sont finalement pas au rendez-vous, ce mardi sur la Côte des Basques, pour le coup d'envoi de la sixième et avant-dernière étape française du Women's World Tour 2012. Ce qui n'a pas empêché notamment l'Australienne Sally Fitzgibbons et les Françaises Pauline Ado et Justine Dupont de se jeter à l'eau afin d'aiguiser leurs planches avant le prochain call fixé à mercredi matin, 7 heures. L'avis de Lisa Andersen, championne du monde de 1994 à 1997 et directrice de la compétition au Roxy Pro ; "Nous tentons un call matinal à 7h demain (mercredi) à marée basse. Les prévisions ne nous laissent pas entrevoir des conditions géniales avant ce week-end. Nous allons tenter de lancer petit à petit les séries aux bonnes marées pour pouvoir profiter à plein des deux bonnes journées de surf espérées." → Sally Fitzgibbons, warm up mardi matin, Côte des Basques ↓ Le 1er tour (les premières de chaque série qualifiées directement pour le 3e tour) : Prochain call mercredi à 7 heures Heat 1 : Courtney Conlogue (USA), Coco Ho (HAW), Sarah Mason* (NZL) Heat 2 : Tyler Wright (AUS), Lakey Peterson (USA), Sage Erickson (USA) Heat 3 : Sally Fitzgibbons (AUS), Rebecca Woods (AUS), Johanne Defay (Fra, wild card) Heat 4 : Stephanie Gilmore (AUS), Paige Hareb (NZL), Jacqueline Silva (BRÉ) Heat 5 : Carissa Moore (HAW), Sofia Mulanovich (PER), Justine Dupont (FRA) Heat 6 : Laura Enever (AUS), Malia Manuel (HAW), Pauline Ado (FRA) *Remplace la Brésilienne Silvana Lima, blessée. Suivre en LIVE le Roxy Pro Biarritz → ICI La Côte des Basques, ce mardi midi. Photo Vincent Martin 14:00 Publié dans ASP Women's World Tour, Roxy Pro Biarritz | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note | Tags : surf, asp, women's world tour, cote des basques, roxy pro biarritz, gilmore, fitzgibbons, ado, dupont, photo, moore, conlogue, enever, wright, manuel, peterson, ho, defay Le Roxy Pro Biarritz ouvre ce mardi, à midi ! Titulaire d'une wild card, Johanne Defay est l'une des trois Françaises engagées au Roxy Pro, avec les surfeuses du Top 17 Pauline Ado et Justine Dupont. Photo © Bonnarme / Roxy ROXY PRO BIARRITZ – FRANCE (Women's World Tour / Jour 1) Sixième et avant-dernière étape du championnat du monde féminin de surf, le Roxy Pro Biarritz prend ses quartiers sur la Côte des Basques à partir de ce mardi, et au plus tard jusqu'à samedi, date limite de la waiting period. Les trois coups de l'unique manche du Women's World Tour 2012 disputée en Europe seront donnés à midi – si les conditions sont au rendez-vous (1 mètre environ ce mardi) – et lanceront les six séries du 1er tour dans lesquelles seront engagées trois Françaises : les deux habituelles pensionnaires du Top 17, l'Hendayaise Pauline Ado et la Canaulaise Justine Dupont en quête de maintien au sein de l'élite mondiale, auxquelles s'ajoute la vice-championne du monde junior réunionnaise Johanne Defay, bénéficiaire d'une wild card. La Brésilienne Silvana Lima – blessée de longue date – exceptée, toutes les meilleures surfeuses de la planète sont réunies cette semaine au Pays basque, avec en toile de fond la bataille pour le titre mondial que se livrent depuis le début de la saison les deux Australiennes Steph Gilmore (24 ans) et Sally Fitzgibbons (21 ans). La quadruple championne du monde (Gilmore, de 2007 à 2010) mène actuellement la danse et une victoire de sa part au Roxy Pro – comme en 2011 – lui assurerait un cinquième sacre mondial si dans le même temps sa principale rivale n'atteignait pas la finale. Dans tous les autres cas, il faudrait attendre l'ultime manche en Californie, début août, pour connaître celle qui succèdera au palmarès du Women's World Tour à l'Hawaiienne Carissa Moore. Le 1er tour (les premières de chaque série qualifiées directement pour le 3e tour) : Premier call mardi à midi Heat 1 : Courtney Conlogue (USA), Coco Ho (HAW), Sarah Mason* (NZL) Heat 2 : Tyler Wright (AUS), Lakey Peterson (USA), Sage Erickson (USA) Heat 3 : Sally Fitzgibbons (AUS), Rebecca Woods (AUS), Johanne Defay (Fra, wild card) Heat 4 : Stephanie Gilmore (AUS), Paige Hareb (NZL), Jacqueline Silva (BRÉ) Heat 5 : Carissa Moore (HAW), Sofia Mulanovich (PER), Justine Dupont (FRA) Heat 6 : Laura Enever (AUS), Malia Manuel (HAW), Pauline Ado (FRA) *Remplace la Brésilienne Silvana Lima, blessée. Suivre en LIVE le Roxy Pro Biarritz → ICI 09:15 Publié dans ASP Women's World Tour, Roxy Pro Biarritz | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note | Tags : surf, asp, women's world tour, cote des basques, roxy pro biarritz, gilmore, fitzgibbons, ado, dupont, photo, moore, conlogue, enever, wright, manuel, peterson, ho, defay 09/07/2012 Un Roxy Pro Biarritz à forts enjeux ROXY PRO BIARRITZ – FRANCE (Women's World Tour / J-1) Pour la seconde année consécutive, les 17 meilleures surfeuses du monde font escale cette semaine (du mardi 10 au samedi 14 juillet) sur la Côte des basques, à Biarritz, pour y disputer le Roxy Pro, avant-dernière épreuve du championnat du monde 2012. Duel pour le titre mondial, victoire sur le prestigieux beachbreak biarrot et lutte pour le maintien, la compétition s'annonce – et sera – acharnée. Gilmore vs Fitzgibbons, duel pour un titre Une chose est (quasiment) certaine, la couronne mondiale 2012 n'échappera pas à une Australienne : Steph Gilmore (24 ans) ou Sally Fitzgibbons (21 ans). La quadruple championne du monde (Gilmore, de 2007 à 2010), revenue cette saison à son meilleur niveau après une agression subie fin 2010, et la double vice-championne du monde (Fitzgibbons, en 2010 et 2011) comptabilisent respectivement 38400 et 36900 points, loin devant Carissa Moore et ses 30200 unités, la championne du monde hawaiienne en titre, sacrée l'an dernier à... Biarritz. Alors, Gilmore et son surf radical mais toujours gracieux ou Fitzgibbons au style aussi efficace que fluide ? Entre les deux jolies Australiennes, le titre mondial 2012 balance. Sally Fitzgibbons et Steph Gilmore, lundi, lors de la conférence de presse du Roxy Pro. Photo © Greg Rabejac / Roxy Avec deux victoires chacune cette saison – Gilmore à Snapper et à Taranaki, Fitzgibbons à Bells et à Rio –, les deux surfeuses aussies n'ont laissé que des miettes à leurs adversaires, ramassées soigneusement à Dee Why par Courtney Conlogue. Après la dernière étape de la saison, début août en Californie, seuls les six meilleurs résultats (sur sept) de chaque surfeuse seront retenus au classement final du championnat du monde. À l'orée de la manche basque, Gilmore devance Fitzgibbons au bénéfice de sa finale à Bells, contre une troisième place à Snapper pour la seconde. Une victoire à Biarritz de l'actuelle leader du classement contraindrait sa dauphine provisoire à atteindre au minimum la finale afin de repousser l'échéance jusqu'au Nike US Open of Surfing. Dans tous les autres cas de figure (une 3e place de Gilmore conjuguée à un succès de Moore ou Conlogue remettrait même "mathématiquement" l'une de ces deux filles dans la course !), le sacre de la reine 2012 n'interviendra qu'aux États-Unis le mois prochain. Qui pour la victoire à Biarritz ? Derrière les deux "ogresses" du circuit, Courtney Conlogue est la seule à avoir tiré son épingle du jeu, en triomphant pour la première fois de sa carrière dans une épreuve du WCT, en avril, au Beachley Classic. Lauréate, début juin, du Star 6* Swatch Pro à Seignosse, la toute jeune Américaine (19 ans) sera l'adversaire numéro 1 de Gilmore et Fitzgibbons pour la victoire à Biarritz. Courtney Conlogue. Photo © ASP / Robertson En net retrait par rapport à sa fantastique saison 2011, Carissa Moore a déjà (presque) fait le deuil de son titre mondial. Toujours dans l'attente d'un succès en 2012, l'Hawaiienne, finaliste sur la Côte des Basques l'an dernier, se verrait bien profiter du duel à distance que ne vont pas manquer de se livrer Gilmore et Fitzgibbons pour enfin défricher son palmarès cette saison. Les Australiennes Laura Enever, finaliste sur la Gold Coast, et Tyler Wright, déjà trois fois demi-finaliste sur le Dream Tour cette saison, seront à surveiller de près, tout comme la rookie hawaiienne Malia Manuel, dont l'appétit a été aiguisé par sa finale à Dee Why. Après un début d'année poussif, Coco Ho (Haw), finaliste de l'étape précédente à Rio, semble avoir retrouvé fougue et confiance. Sans oublier l'Américaine Lakey Peterson, pas encore 18 ans, et qui, pour sa première saison dans l'élite, a déjà atteint les demi-finales à Taranaki, avec au passage une victoire en quarts face à... Fitzgibbons. Gare à elles ! Ado et Dupont en quête de maintien Seules les filles classées dans les dix premières au classement du Women's World Tour à l'issue du Nike US Open of Surfing seront automatiquement maintenues dans le Top 17 en 2013. Neuf strapontins semblent déjà acquis à Gilmore, Fitzgibbons, Moore, Conlogue, Enever, Wright, Manuel, Peterson et Ho. En reste donc un qui ne s'offrira qu'à l'une de ces surfeuses : l'Australienne Rebecca Woods (10e, 18000 pts), les Néo-Zélandaises Paige Hareb (11e, 18000) et la remplaçante Sarah Mason (13e, 14450), l'ex-championne du monde péruvienne Sofia Mulanovich (12e, 17750), les Brésiliennes Silvana Lima (14e, 12200, absente des quatre dernières étapes pour cause de blessure et de nouveau forfait à Biarritz) et Jacqueline Silva (18e, 8250), les Françaises Pauline Ado (14e, 12200) et Justine Dupont (16e, 11000), et l'Américaine Sage Erickson (16e, 11000). Pauline Ado. Photo © ASP / Kirstin Accablée par quatre sorties d'affilée dès le 2e tour et un surf en berne, Pauline Ado a rectifié le tir et retrouvé tout son peps au Brésil en atteignant les quarts de finale, et, mieux, en y taquinant la future gagnante, Sally Fitzgibbons. Presque à domicile, l'Hendayaise, demi-finalise en 2011, peut espérer claquer la (grosse) performance qui lui permettrait de se replacer dans la course au maintien. Justine Dupont devra en faire de même si elle ne veut pas s'éclipser du Dream Tour la saison prochaine, après seulement une année de pratique. Si la Canaulaise n'a plus le moindre joker dans sa combinaison, Pauline Ado en dispose, elle, un de taille : sa 4e place actuelle au World Ranking, qui donnera l'accès à l'élite aux six mieux classées (hors top 10 du World Tour). De quoi enlever un soupçon de pression à la surfeuse basque (21 ans) avant le rendez-vous biarrot. Le 1er tour (les premières de chaque série qualifiées directement pour le 3e tour) : Premier call mardi à midi Heat 1 : Courtney Conlogue (USA), Coco Ho (HAW), Sarah Mason* (NZL) Heat 2 : Tyler Wright (AUS), Lakey Peterson (USA), Sage Erickson (USA) Heat 3 : Sally Fitzgibbons (AUS), Rebecca Woods (AUS), Johanne Defay (Fra, wild card) Heat 4 : Stephanie Gilmore (AUS), Paige Hareb (NZL), Jacqueline Silva (BRÉ) Heat 5 : Carissa Moore (HAW), Sofia Mulanovich (PER), Justine Dupont (FRA) Heat 6 : Laura Enever (AUS), Malia Manuel (HAW), Pauline Ado (FRA) *Remplace la Brésilienne Silvana Lima, blessée. Suivre en LIVE le Roxy Pro Biarritz → ICI → Warm up Session de samedi ici ↓ ♦ ASP Women's World Tour 2012 : 1. Roxy Pro Gold Coast, Australie : Stephanie GILMORE (Aus) 2. Rip Curl Pro Bells Beach, Australie : Sally FITZGIBBONS (Aus) 3. TSB Bank NZ Surf Festival Taranaki, Nouvelle-Zélande : Stephanie GILMORE (Aus) 4. Commonwealth Beachley Classic Dee Why, Australie : Courtney CONLOGUE (USA) 5. Billabong Rio Pro, Brésil : Sally FITZGIBBONS (Aus) 6. Roxy Pro Biarritz, France : 10 - 14 juillet 7. Nike US Open of Surfing, États-Unis (Californie) : 30 juillet - 5 août ♦ Le Top 7 du Women's World Tour après le Billabong Rio Pro (5/7) : 1. Stephanie Gilmore (AUS), 38400 pts 2. Sally Fitzgibbons (AUS), 36900 pts 3. Carissa Moore (HAW), 30200 pts 4. Courtney Conlogue (USA), 29600 pts 5. Tyler Wright (AUS), 28700 pts 6. Laura Enever (AUS), 27600 pts 7. Malia Manuel (HAW), 26400 pts ... 14. Pauline Ado (FRA), 12200 pts 15. Justine Dupont (FRA), 11000 pts Seuls les six meilleurs résultats de chaque surfeuse sont conservés à l'issue de la saison. À l'issue de la saison, les surfeuses qui terminent dans le top 10 du Women's World Tour sont requalifiées pour l'année suivante, auxquelles s'ajoutent les six mieux classées du World Ranking (hors top 10 du WWT) et une wild card permanente → Les hommes prennent la direction de Jeffreys Bay BILLABONG PRO JEFFREYS BAY – AFRIQUE DU SUD (Star 6*) Bye bye Ballito, hello Jeffreys Bay ! Cette semaine (du 10 au 15 juillet), les surfeurs du circuit ASP changent de spot mais pas de pays. Dans la foulée du Prime Mr Price Pro Ballito remporté dimanche par Glenn Hall, le Star 6* Billabong Pro J-Bay prend le relais dans la province sud-africaine du Cap Oriental. Remporté ces deux dernières années par Jordy Smith (AFS), le contest ne bénéficie plus en 2012 du label World Tour. En conséquence, ils ne seront "que" dix surfeurs de l'élite à venir se mesurer au conditions de Supertubes : le tenant du titre Jordy Smith, Adriano de Souza (Bré), Alejo Muniz (Bré), Adam Melling (Aus), Yadin Nicol (Aus), CJ Hobgood (USA), Pat Gudauskas (USA), Brett Simpson (USA), Travis Logie (AFS) et John John Florence (Haw). Les Français, passés inaperçus à Ballito (plus aucun au 3e tour), seront encore présents en nombre : Joan Duru et Marc Lacomare qui seront dans la même série au round of 96 (sous réserve de modifications de dernière minute) pour lequel est également directement qualifié Romain Cloître (dans le même heat que Mitch Coleborn), tandis que Maxime Huscenot, Medi Veminardi, Adrien Toyon et Charly Martin devront d'abord en passer par le round of 144. Vents offshore et houle généreuse sont annoncés pour la durée du contest. ♦ Le 1er tour des Français : Heat 14 : Adrien Toyon (Fra), Jano Belo (Bré), Nils Schweizer (Aus), David Van Zyl (AFS) Heat 15 : Charly Martin (GLP), Garrett Parkes (Aus), Chad du Toit (AFS), Matthew Bromley (AFS) Heat 19 : Bernardo Miranda (Bré), Tim Reyes (USA), Medi Veminardi (Réu), Nathan Florence (Haw) Heat 21 : Keanu Asing (USA), Maxime Huscenot (Fra), Carlos Muñoz (CRI), Andrew Lange (AFS) Suivre en LIVE le Billabong Rio J-Bay → ICI 09:37 Publié dans ASP Women's World Tour, Roxy Pro Biarritz | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note | Tags : surf, asp, women's world tour, cote des basques, roxy pro biarritz, gilmore, le roxy de biarritz
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Je suis journaliste sportif au sein du quotidien régional "Sud Ouest". Retrouvez sur "Planète Surf" toute l'actualité de l'ASP World Tour, le circuit mondial qui fait référence dans l'univers du surf, mais également celle des compétitions annexes. Bon surf !
Vincent Martin
Planète Surf
vincentmartin99
DjePhotographer Dans le mille !!!!! fb.me/1IStUpIwK
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Vincent_Rz A lire! -->RT @vincentmartin99 #RipCurlPro Portugal : un gagnant, vraiment ? bit.ly/WyPj7r
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vincentmartin99 #RipCurlPro Portugal : un gagnant, vraiment ? bit.ly/WyPj7r
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JeanSebEstienne Le Royal Barrique a eu lieu !! #royalbarrique cc @estimasso @clement_demange pic.twitter.com/r5xK0X0q
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Reine de Biarritz, Gilmore s'offre un 5e titre mondial
En remportant pour la seconde année d'affilée le Roxy Pro Biarritz, l'Australienne Stephanie Gilmore, ici entourée sur le podium de Coco Ho et Tyler Wright, a conquis son 5e titre mondial. Photo © ASP / Aquashot / Damien Poullenot
ROXY PRO BIARRITZ – FRANCE (Women's World Tour / Jour final) Un troisième succès cette saison sur le Dream Tour, une seconde victoire consécutive au Roxy Pro Biarritz et un cinquième titre mondial après les quatre conquis entre 2007 à 2010 : Stephanie Gilmore est une surfeuse comblée. En se montrant la meilleure ce samedi après-midi sur les vagues capricieuses de la Grand Plage (1-1,5 mètre), l'Australienne de 24 ans a également profité de la sortie de route surprise dès les quarts de finale de Sally Fitzgibbons, en pleurs après sa défaite face à Coco Ho, pour coiffer la couronne mondiale 2012, à une étape du terme du Women's World Tour.
"Je me suis réveillée ce (samedi) matin en pensant que ça n’arriverait pas aujourd’hui, a déclaré celle qui dépasse désormais en nombre de titres mondiaux Freida Zamba (USA), Wendy Botha (Aus) et Lisa Andersen (USA). "Mais au fil de la journée, je me suis mis à y croire. La France est un pays si accueillant, être encouragée par autant de gens sur la plage, c’est très touchant. Je crois que je vais me mettre à pleurer. Cette année, j’ai décidé de me consacrer à retrouver ma constance et du plaisir à surfer. Entre mes débuts parmi l’élite il y a cinq ans et maintenant, le surf féminin à tellement progressé. C’est vraiment un honneur d’être de retour au plus haut niveau, les autres surfeuses m’ont poussée vers le haut tous les jours."
Ce retour au premier plan après une saison 2011 gâchée par une agression subie fin 2010, Steph Gilmore l'a enclenché dès la première épreuve de la saison, à Snapper Rocks, en s'imposant pour la quatrième fois de sa carrière au Roxy Pro Gold Coast. La confiance enfin retrouvée, la surfeuse de Murwillumbah a ensuite enchaîné avec une finale au Rip Curl Bells Beach (battue par Fitzgibbons) puis sur un vingtième succès sur le Dream Tour en Nouvelle-Zélande, à Taranaki. Moins en vue lors des deux contests suivants, avec deux quarts au Beachley Classic à Sydney et au Billabong Rio Pro, l'Australienne se trouvait néanmoins en position de pouvoir s'offrir son cinquième titre mondial, cette semaine, en débarquant au Pays Basque. Il fallait pour cela qu'elle s'impose, comme l'an dernier, sur le beachbreak biarrot en espérant que sa rivale et compatriote Sally Fitzgibbons n'atteigne pas la finale du contest. On sait ce qu'il advint.
Steph Gilmore. Photo © ASP / Aquashot / Damien Poullenot
Difficile pourtant, ce matin, d'imaginer pareil scénario tant Fitzgibbons avait paru, vendredi, maîtriser son sujet aux rounds 2 et 3 après un 1er tour raté. Seulement voilà, le surf radical et puissant de l'Hawaiienne Coco Ho l'a démoralisée. Ne laissant à la double – et peut-être bientôt triple – vice-championne du monde que ses (beaux) yeux pour pleurer. Restait cependant encore à Steph Gilmore a accomplir sa part du travail. À l'aise en quarts de finale face à Malia Manuel (13,57-10,00), même si elle s'en défendit à sa sortie de l'eau, la surfeuse du team Quiksilver Women allait forcément souffrir en demie contre Carissa Moore, pour un remake de la finale 2011.
Impressionnante depuis le début de la compétition, la championne du monde hawaiienne semblait en mesure de repousser à début août et au Nike US Open of Surfing, étape clôturant le Women's World Tour 2012, l'attribution du titre mondial. Accrochée jusqu'à moins de dix minutes du terme du heat, Steph Gilmore se détachait irrémédiablement grâce à deux vagues saupoudrées de turns parfaitement exécutés (17,10-12,50).
Steph Gilmore savoure son triomphe avant de rejoindre la foule massée sur la Grande Plage. Photo Greg Rabejac / Roxy
En finale, 100 % australienne face à Tyler Wright (18,53-13,10), la future quintuple championne du monde a fait parler la poudre, ne rompant pas sous la pression du sacre approchant et claquant comme dans un rêve en cinq minutes, entre la 20e et la 15e, un 9,00 puis un 9,53 en récompense d'énormes turns envoyés lors de ses cinquième et sixième tentatives ! La foudre Gilmore venait de s'abattre sur Wright, définitivement combo malgré une belle réaction dans la foulée, qui méritait mieux que le 8,00 alloué. Du haut de ses sept titres mondiaux, l'Australienne Layne Beachley peut commencer à s'inquiéter. À seulement 24 ans, Steph Gilmore a retrouvé le rang qui lui va comme un gant. Le premier.
Steph Gilmore avec, dans les bras, son trophée de championne du monde. Le 5e de son impressionnante collection. Photo © ASP / Aquashot / Damien Poullenot
La finale :
1.Stephanie Gilmore (AUS) 18,53
2. Tyler Wright (AUS) 13,10
Les demi-finales :
SF 1 : Tyler Wright (AUS) 14,66 def. Coco Ho (HAW) 9,37
SF 2 : Stephanie Gilmore (AUS) 17,10 def. Carissa Moore (HAW) 12,50
Les quarts de finale :
QF 1 : Tyler Wright (AUS) 11,37 def. Courtney Conlogue (USA) 10,53
QF 2 : Coco Ho (HAW) 12,60 def. Sally Fitzgibbons (AUS) 8,76
QF 3 : Stephanie Gilmore (AUS) 13,57 def. Malia Manuel (HAW) 10,00
QF 4 : Carissa Moore (HAW) 16,33 def. Laura Enever (AUS) 12,07
À Biarritz, Sally Fitzgibbons a dit adieu à ses espoirs de premier titre mondial. Photo © ASP / Aquashot / Damien Poullenot
♦ ASP Women's World Tour 2012 :
1. Roxy Pro Gold Coast, Australie : Stephanie GILMORE (Aus)
2. Rip Curl Pro Bells Beach, Australie : Sally FITZGIBBONS (Aus)
3. TSB Bank NZ Surf Festival Taranaki, Nouvelle-Zélande : Stephanie GILMORE (Aus)
4. Commonwealth Beachley Classic Dee Why, Australie : Courtney CONLOGUE (USA)
5. Billabong Rio Pro, Brésil : Sally FITZGIBBONS (Aus)
6. Roxy Pro Biarritz, France : Stephanie GILMORE (Aus)
7. Nike US Open of Surfing, États-Unis (Californie) : 30 juillet - 5 août
♦ Le Top 10 du Women's World Tour après le Roxy Pro Biarritz (6/7) :
1. Stephanie Gilmore (AUS) [WORLD CHAMPION], 48400 pts
2. Sally Fitzgibbons (AUS), 42100 pts
3. Tyler Wright (AUS), 36700 pts
4. Carissa Moore (HAW), 36700 pts
5. Courtney Conlogue (USA), 34800 pts
6. Laura Enever (AUS), 32800 pts
7. Malia Manuel (HAW), 31600 pts
8. Coco Ho (HAW), 28400 pts
9. Lakey Peterson (USA), 27000 pts
10. Rebecca Woods (AUS), 22000 pts
...
14. Pauline Ado (FRA), 13950 pts
16. Justine Dupont (FRA), 12750 pts
Seuls les six meilleurs résultats de chaque surfeuse sont conservés à l'issue de la saison.
À l'issue de la saison, les surfeuses qui terminent dans le top 10 du Women's World Tour sont requalifiées pour l'année suivante, auxquelles s'ajoutent les six mieux classées du World Ranking (hors top 10 du WWT) et une wild card permanente. (Photo Félix Dufour)
17:03 Publié dans ASP Women's World Tour, Roxy Pro Biarritz | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note | Tags : surf, asp, women's world tour, cote des basques, roxy pro biarritz, gilmore, fitzgibbons, ado, dupont, photo, video, moore, conlogue, enever, wright, manuel, peterson, ho, defay, hareb, mulanovich
Les quarts déterminés au Roxy Pro Biarritz
L'Australienne Steph Gilmore peut être sacrée, cet après-midi à Biarritz, championne du monde pour la cinquième fois de sa carrière. Photo © ASP / Damien Poullenot
ROXY PRO BIARRITZ – FRANCE (Women's World Tour / Jour final) Le Roxy Pro Biarritz est entré, ce samedi matin, dans sa dernière ligne droite. Déplacée comme prévu sur la Grande Plage, la compétition a pu démarrer malgré un spot brouillon (fort vent onshore) et des petites vagues d'un peu plus d'un mètre environ. Qualifiées directement, dès vendredi, pour les quarts de finale de cette sixième et avant-dernière manche du Women's World Tour 2012, Steph Gilmore (Aus), Sally Fitzgibbons (Aus), Tyler Wright (Aus) et Carissa Moore (Haw) ont été rejointes dans la matinée par l'Américaine Courtney Conlogue (USA), les Hawaiiennes Coco Ho et Malia Manuel, et l'Australienne Laura Enever.
Huit des neuf premières surfeuses au classement du WWT (manque Lakey Peterson, éliminée au 4e tour) sont ainsi présentes au rendez-vous des phases finales de ce Roxy Pro Biarritz, qui pourrait permettre à Steph Gilmore (24 ans) d'être sacrée championne du monde pour la cinquième fois de sa carrière. Il faut pour cela que l'Australienne remporte le contest biarrot et que dans le même temps Sally Fitzgibbons (21 ans) n'atteigne pas la finale. Sinon, le titre mondial 2012 se jouera du 30 juillet au 5 août à l'occasion de la dernière étape de la saison, au Nike US Open of Surfing (Californie).
La compétition continue avec le lancement des quarts de finale.
Le 4e tour (de repêchage, à élimination directe) :
Heat 1 : Courtney Conlogue (USA) 11,40 def. Lakey Peterson (USA) 9,50
Heat 2 : Coco Ho (HAW) 11,67 def. Rebecca Woods (AUS) 8,77
Heat 3 : Malia Manuel (HAW) 12,10 def. Paige Hareb (NZL) 9,16
Heat 4 : Laura Enever (AUS) 12,13 def. Sofia Mulanovich (PER) 8,66
Les quarts de finale :
QF 1 : Tyler Wright (AUS) vs. Courtney Conlogue (USA)
QF 2 : Sally Fitzgibbons (AUS) vs. Coco Ho (HAW)
QF 3 : Stephanie Gilmore (AUS) vs. Malia Manuel (HAW)
QF 4 : Carissa Moore (HAW) vs. Laura Enever (AUS)
Suivre aussi le LIVE du Roxy Pro Biarritz → ICI
11:38 Publié dans ASP Women's World Tour, Roxy Pro Biarritz | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note | Tags : surf, asp, women's world tour, cote des basques, roxy pro biarritz, gilmore, fitzgibbons, ado, dupont, photo, video, moore, conlogue, enever, wright, manuel, peterson, ho, defay, hareb, mulanovich
13/07/2012
Déjà fini pour les Françaises au Roxy Pro Biarritz
ROXY PRO BIARRITZ – FRANCE (Women's World Tour / Jour 4) Pauline Ado, Justine Dupont, Johanne Defay : aucune des trois Françaises engagées au Roxy Pro Biarritz n'a pu franchir, ce vendredi, le 2e tour de la sixième et avant-dernière étape du Women's World Tour 2012. Si pour Defay (18 ans), détentrice d'une wild card, l'expérience d'une première participation à une épreuve du Dream Tour ne pourra être que bénéfique pour la suite de sa carrière, le couperet est tombé pour Ado et Dupont sur le beachbreak basque : l'Hendayaise aux deux saisons consécutives dans l'élite et la rookie canaulaise n'ont désormais plus aucune chance de s'y maintenir par le biais du World Tour. Les deux surfeuses tricolores devront tout miser sur le circuit WQS (1) afin de se requalifier pour 2013. Largement dans les cordes de Pauline Ado, actuellement 4e et potentiellement première qualifiée au World Ranking ; beaucoup plus incertain s'agissant de Justine Dupont (71e), qui paye sa blessure du début de saison.
Justine Dupont. Photo © ASP / Damien Poullenot
Après trois jours à attendre la houle, celle-ci a fait une belle entrée sur la Côte des Basques (1 à 1,5 mètre), permettant au contest d'accomplir (enfin) ses trois premiers tours. Deux seulement auront donc suffi à éteindre les espoirs français. Le 1er round matinal avait déjà donné le ton, Pauline Ado et Johanne Defay se classant dernières de leur heat respectif sans donner l'impression de pouvoir inverser la tendance, tandis qu'une Justine Dupont concernée et enthousiaste avait eu le malheur de tomber sur une Carissa Moore intraitable.
Dans des vagues de plus en plus consistantes au fil de l'après-midi avant qu'un fort vent onshore ne vienne troubler la fin de journée, Johanne Defay a été la première Française à disparaître du tableau, victime d'une option sud du line-up non-payante et surtout d'une Sally Fitzgibbons bien plus réveillée que lors de son 1er tour. L'Australienne a scoré face à Defay la top vague du jour (9,50) et le meilleur total (18,15).
"Le premier round était difficile en raison du peu de vagues", a commenté Sally Fitzgibbons, qui devra impérativement être présente en finale samedi si sa compatriote et néanmoins rivale Steph Gilmore venait à remporter le contest. Ceci pour prolonger jusqu'à début août en Californie leur duel pour le titre mondial 2012 (2). "Je manquais de rythme mais je suis persuadée que cette série m’a remise dans le coup. Je suis confiante dans mon surf et j’ai su trouver les bonnes vagues. Les bancs de sable français sont imprévisibles et j’ai passé mon temps à essayer d’anticiper l’évolution des vagues. Le spot de la Côte des Basques change toutes les cinq minutes mais ça m’amuse d’essayer de trouver les meilleures vagues."
Sally Fitzgibbons. Photo © ASP / Damien Poullenot
À l'instar de son bon 1er tour, Justine Dupont s'est encore montrée à la hauteur en repêchage, mais est de nouveau tombée sur une surfeuse sûre de son surf : l'Hawaiienne Coco Ho, victorieuse 16,00-15,15 après avoir fait la différence sur la fin. L'élimination (10,65-7,50) sera plus difficile encore à digérer pour Pauline Ado, sans rythme sur un plan d'eau soudainement devenu tout mou, et surprise par une Paige Hareb, pas mécontente de prendre sa revanche de Rio.
Le lancement dans la foulée du 3e tour a permis aux favorites de ce Roxy Pro de rallier directement les quarts de finale, à savoir les Australiennes Tyler Wright, Sally Fitzgibbons et la tenante du titre à Biarritz Steph Gilmore, ainsi que l'Hawaiienne Carissa Moore.
Le call de samedi, ultime jour de la waiting period qui décidera de la lauréate de cette édition 2012, sera donné à 9 heures sur la Grande Plage de Biarritz où la compétition sera déplacée. Des conditions conséquentes sont attendues (2 mètres), mais un fort vent onshore devrait venir jouer les trouble-fête.
(1) À l'issue de la saison, les surfeuses qui terminent dans le top 10 du Women's World Tour sont requalifiées pour l'année suivante, auxquelles s'ajoutent les six mieux classées du World Ranking (hors top 10 du WWT) et une wild card permanente.
(2) Carissa Moore et Courtney Conlogue sont également encore mathématiquement dans la course au titre mondial.
→ Top vague et meilleur total du Jour 4 signés Sally Fitzgibbons ↓
Courtney Conlogue. Photo © ASP / Damien Poullenot
Le 1er tour (les premières de chaque série qualifiées directement pour le 3e tour) :
Heat 1 : Courtney Conlogue (USA) 14.50, Sarah Mason (NZL) 13.15, Coco Ho (HAW) 9.00
Heat 2 : Tyler Wright (AUS) 12.05, Lakey Peterson (USA) 10.65, Sage Erickson (USA) 8.10
Heat 3 : Rebecca Woods (AUS) 11.30, Sally Fitzgibbons (AUS) 10.00, Johanne Defay (FRA) 6.60
Heat 4 : Stephanie Gilmore (AUS) 13.20, Paige Hareb (NZL) 10.80, Jacqueline Silva (BRÉ) 7.75
Heat 5 : Carissa Moore (HAW) 17.30, Justine Dupont (FRA) 14.90, Sofia Mulanovich (PER) 5.00
Heat 6 : Laura Enever (AUS) 14.50, Malia Manuel (HAW) 12.15, Pauline Ado (FRA) 7.40
Le 2e tour (de repêchage, à élimination directe) :
Heat 1 : Sofia Mulanovich (PER) 12.75 def. Sarah Mason (NZL) 12.40
Heat 2 : Lakey Peterson (USA) 15.25 def. Sage Erickson (USA) 13.35
Heat 3 : Sally Fitzgibbons (AUS) 18.15 def. Johanne Defay (FRA) 11.00
Heat 4 : Malia Manuel (HAW) 15.75 def. Jacqueline Silva (BRÉ) 11.00
Heat 5 : Coco Ho (HAW) 16.00 def. Justine Dupont (FRA) 15.15
Heat 6 : Paige Hareb (NZL) 10.65 def. Pauline Ado (FRA) 7.50
Le 3e tour (les premières de chaque série qualifiées directement pour les quarts) :
Heat 1 : Tyler Wright (AUS) 15.10, Courtney Conlogue (USA) 14.40, Rebecca Woods (AUS) 11.30
Heat 2 : Sally Fitzgibbons (AUS) 13.40, Coco Ho (HAW) 11.55, Lakey Petersen (USA) 8.35
Heat 3 : Stephanie Gilmore (AUS) 16.00, Malia Manuel (HAW) 13.70, Sofia Mulanovich (PER) 9.60
Heat 4 : Carissa Moore (HAW) 14.00, Laura Enever (AUS) 9.25, Paige Hareb (NZL) 6.10
Tyler Wright. Photo © ASP / Damien Poullenot
Le 4e tour (de repêchage, à élimination directe, à venir) :
Prochain call samedi à 9 heures, sur la Grande Plage de Biarritz
Heat 1 : Courtney Conlogue (USA) vs. Lakey Peterson (USA)
Heat 2 : Coco Ho (HAW) vs. Rebecca Woods (AUS)
Heat 3 : Malia Manuel (HAW) vs. Paige Hareb (NZL)
Heat 4 : Laura Enever (AUS) vs. Sofia Mulanovich (PER)
Les quarts de finale (à élimination directe, à venir) :
QF 1 : Tyler Wright (AUS) vs. Courtney Conlogue (USA) ou Lakey Peterson (USA)
QF 2 : Sally Fitzgibbons (AUS) vs. Coco Ho (HAW) ou Rebecca Woods (AUS)
QF 3 : Stephanie Gilmore (AUS) vs. Malia Manuel (HAW) ou Paige Hareb (NZL)
QF 4 : Carissa Moore (HAW) vs. Laura Enever (AUS) ou Sofia Mulanovich (PER)
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23:17 Publié dans ASP Women's World Tour, Roxy Pro Biarritz | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note | Tags : surf, asp, women's world tour, cote des basques, roxy pro biarritz, gilmore, fitzgibbons, ado, dupont, photo, video, moore, conlogue, enever, wright, manuel, peterson, ho, defay, hareb
En direct : c'est parti au Roxy Pro Biarritz !
ROXY PRO BIARRITZ – FRANCE (Women's World Tour / Jour 4) Tout vient à qui sait attendre, et en particulier aux surfeuses du Roxy Pro Biarritz ! Après trois jours sans compétition, la sixième et avant-dernière étape du Women's World Tour a enfin débuté, ce vendredi matin, dans les petites vagues (moins d'un mètre) de la Côte des Basques. L'Américaine Courtney Conlogue et l'Australienne Tyler Wright sont les premières qualifiées direct pour le 3e tour. À suivre EN DIRECT ci-dessus !
Revivez en photos la journée "off" de jeudi → ICI
Le 1er tour (les premières de chaque série qualifiées directement pour le 3e tour) :
Heat 1 : Courtney Conlogue (USA), Coco Ho (HAW), Sarah Mason* (NZL)
Heat 2 : Tyler Wright (AUS), Lakey Peterson (USA), Sage Erickson (USA)
Heat 3 : Sally Fitzgibbons (AUS), Rebecca Woods (AUS), Johanne Defay (Fra, wild card)
Heat 4 : Stephanie Gilmore (AUS), Paige Hareb (NZL), Jacqueline Silva (BRÉ)
Heat 5 : Carissa Moore (HAW), Sofia Mulanovich (PER), Justine Dupont (FRA)
Heat 6 : Laura Enever (AUS), Malia Manuel (HAW), Pauline Ado (FRA)
*Remplace la Brésilienne Silvana Lima, blessée.
Le site du Roxy Pro sur la Côte des Basques. Photo Rabejac / Roxy
Suivre aussi le LIVE du Roxy Pro Biarritz → ICI
08:35 Publié dans ASP Women's World Tour, Roxy Pro Biarritz | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note | Tags : surf, asp, women's world tour, cote des basques, roxy pro biarritz, gilmore, fitzgibbons, ado, dupont, photo, moore, conlogue, enever, wright, manuel, peterson, ho, defay
12/07/2012
Roxy Pro Biarritz - Jour 3 : galerie photos
ROXY PRO BIARRITZ – FRANCE (Women's World Tour / Jour 3) La compétition est donc de nouveau restée en stand by, ce jeudi sur la Côte des Basques, alors que la waiting period du Roxy Pro Biarritz touche à sa fin samedi et que le 1er tour n'a toujours pas pu être lancé. Heureusement, une amélioration sensible des conditions est attendue pour vendredi et surtout samedi (malgré du possible vent on shore). C'est dire si les surfeuses du Dream Tour ne vont pas chômer à partir de demain et enchaîner les séries pour arriver au bout du contest dans les temps.
En attendant le lancement (enfin) de la compétition, voici quelques photos de ce jour 3 "off" :
Crédit photos : Vincent Martin
La Française Pauline Ado à la sortie d'une free session
Pas de compétition ce jeudi ? L'Hawaiienne Coco Ho range ses planches...
Espiègle Carissa Moore, la championne du monde hawaiienne, ici aux côtés de Lisa Andersen, ancienne quadruple championne du monde et directrice de la compétition sur le Roxy Pro
Du chaud soleil pour ce troisième jour du Roxy Pro mais peu de vagues.
L'Américaine Courtney Conlogue a, elle, pris le parti d'aller surfer avec... un dauphin en plastique ! Avant d'entamer par les rochers le retour dans la zone mixte du Roxy Pro...
Agile comme un chat, Courtney...
... et contente d'être (presque) arrivée au "sommet" !
Place au repos (bien mérité) pour la guerrière Conlogue, avant les deux grosses journées de compétition à venir.
La Canaulaise Justine Dupont a tout de même pu profiter d'une free session
Après l'annonce du report du call à vendredi, l'Américaine Lakey Peterson a décidé de tester les petites vagues de la Côte des Basques
Le 1er tour (les premières de chaque série qualifiées directement pour le 3e tour) :
Prochain call vendredi à 7 heures
Heat 1 : Courtney Conlogue (USA), Coco Ho (HAW), Sarah Mason* (NZL)
Heat 2 : Tyler Wright (AUS), Lakey Peterson (USA), Sage Erickson (USA)
Heat 3 : Sally Fitzgibbons (AUS), Rebecca Woods (AUS), Johanne Defay (Fra, wild card)
Heat 4 : Stephanie Gilmore (AUS), Paige Hareb (NZL), Jacqueline Silva (BRÉ)
Heat 5 : Carissa Moore (HAW), Sofia Mulanovich (PER), Justine Dupont (FRA)
Heat 6 : Laura Enever (AUS), Malia Manuel (HAW), Pauline Ado (FRA)
*Remplace la Brésilienne Silvana Lima, blessée.
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18:20 Publié dans ASP Women's World Tour, Roxy Pro Biarritz | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note | Tags : surf, asp, women's world tour, cote des basques, roxy pro biarritz, gilmore, fitzgibbons, ado, dupont, photo, moore, conlogue, enever, wright, manuel, peterson, ho, defay
Les vagues se font désirer au Roxy Pro Biarritz
En attendant le début du Roxy Pro, les longboardeuses, à l'image ici de la Réunionnaise Justine Mauvin, ont assuré le spectacle, hier mercredi, lors du Kassia Invitational. Photo © ASP / Marion Dussarrat
ROXY PRO BIARRITZ – FRANCE (Women's World Tour / Jour 3) Le troisième jour du Roxy Pro Biarritz a débuté, ce jeudi, de manière identique aux deux précédents : par un report du call matinal, faute de conditions suffisantes sur la Côte des Basques (moins d'un mètre). Fixé initialement à 7 heures, le lancement des séries du 1er tour a été reporté à 14 h 30 (call à 14 heures), même si une amélioration de la houle est plutôt prévue pour vendredi, et surtout samedi (2 mètres espérés !), dernier jour de la waiting period de cette sixième et avant-dernière étape du Women's World Tour.
MISE À JOUR (16h) : OFFICIEL, troisième jour consécutif sans compétition au Roxy Pro Biarritz, toujours faute de conditions suffisantes sur la Côte des Basques pour lancer le 1er tour. Le prochain call est fixé à vendredi, 7 heures, avant-dernier jour de la waiting period.
Le 1er tour (les premières de chaque série qualifiées directement pour le 3e tour) :
Prochain call vendredi à 7 heures
Heat 1 : Courtney Conlogue (USA), Coco Ho (HAW), Sarah Mason* (NZL)
Heat 2 : Tyler Wright (AUS), Lakey Peterson (USA), Sage Erickson (USA)
Heat 3 : Sally Fitzgibbons (AUS), Rebecca Woods (AUS), Johanne Defay (Fra, wild card)
Heat 4 : Stephanie Gilmore (AUS), Paige Hareb (NZL), Jacqueline Silva (BRÉ)
Heat 5 : Carissa Moore (HAW), Sofia Mulanovich (PER), Justine Dupont (FRA)
Heat 6 : Laura Enever (AUS), Malia Manuel (HAW), Pauline Ado (FRA)
*Remplace la Brésilienne Silvana Lima, blessée.
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08:55 Publié dans ASP Women's World Tour, Roxy Pro Biarritz | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note | Tags : surf, asp, women's world tour, cote des basques, roxy pro biarritz, gilmore, fitzgibbons, ado, dupont, photo, moore, conlogue, enever, wright, manuel, peterson, ho, defay, kassia invitational, justine mauvin
11/07/2012
Le Roxy Pro Biarritz toujours en attente
La Côte des Basques. Photo Affif / Roxy
ROXY PRO BIARRITZ – FRANCE (Women's World Tour / Jour 2) Prévu initialement ce mercredi à 7 heures, le call du deuxième jour du Roxy Pro Biarritz est reporté à 14 heures. Après un premier jour "off" ce mardi, les conditions restent pour le moment insuffisantes pour lancer la compétition, dont la waiting period s'étire jusqu'à samedi.
MISE À JOUR (14h10) : OFFICIEL, second jour consécutif sans compétition au Roxy Pro Biarritz, faute de conditions suffisantes sur la Côte des Basques pour lancer le 1er tour. Le prochain call est fixé à jeudi, 7 heures..
Le 1er tour (les premières de chaque série qualifiées directement pour le 3e tour) :
Prochain call jeudi à 7 heures
Heat 1 : Courtney Conlogue (USA), Coco Ho (HAW), Sarah Mason* (NZL)
Heat 2 : Tyler Wright (AUS), Lakey Peterson (USA), Sage Erickson (USA)
Heat 3 : Sally Fitzgibbons (AUS), Rebecca Woods (AUS), Johanne Defay (Fra, wild card)
Heat 4 : Stephanie Gilmore (AUS), Paige Hareb (NZL), Jacqueline Silva (BRÉ)
Heat 5 : Carissa Moore (HAW), Sofia Mulanovich (PER), Justine Dupont (FRA)
Heat 6 : Laura Enever (AUS), Malia Manuel (HAW), Pauline Ado (FRA)
*Remplace la Brésilienne Silvana Lima, blessée.
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09:02 Publié dans ASP Women's World Tour, Roxy Pro Biarritz | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note | Tags : surf, asp, women's world tour, cote des basques, roxy pro biarritz, gilmore, fitzgibbons, ado, dupont, photo, moore, conlogue, enever, wright, manuel, peterson, ho, defay
10/07/2012
Premier jour "off" au Roxy Pro Biarritz
Ce mardi, 13 heures : Justine Dupont va goûter aux petites vagues de la Côte des Basques. Photo Vincent Martin
ROXY PRO BIARRITZ – FRANCE (Women's World Tour / Jour 1) Faux départ pour le Roxy Pro Biarritz ! Comme les prévisions l'avaient laissé craindre, les conditions ne sont finalement pas au rendez-vous, ce mardi sur la Côte des Basques, pour le coup d'envoi de la sixième et avant-dernière étape française du Women's World Tour 2012. Ce qui n'a pas empêché notamment l'Australienne Sally Fitzgibbons et les Françaises Pauline Ado et Justine Dupont de se jeter à l'eau afin d'aiguiser leurs planches avant le prochain call fixé à mercredi matin, 7 heures.
L'avis de Lisa Andersen, championne du monde de 1994 à 1997 et directrice de la compétition au Roxy Pro ; "Nous tentons un call matinal à 7h demain (mercredi) à marée basse. Les prévisions ne nous laissent pas entrevoir des conditions géniales avant ce week-end. Nous allons tenter de lancer petit à petit les séries aux bonnes marées pour pouvoir profiter à plein des deux bonnes journées de surf espérées."
→ Sally Fitzgibbons, warm up mardi matin, Côte des Basques ↓
Le 1er tour (les premières de chaque série qualifiées directement pour le 3e tour) :
Prochain call mercredi à 7 heures
Heat 1 : Courtney Conlogue (USA), Coco Ho (HAW), Sarah Mason* (NZL)
Heat 2 : Tyler Wright (AUS), Lakey Peterson (USA), Sage Erickson (USA)
Heat 3 : Sally Fitzgibbons (AUS), Rebecca Woods (AUS), Johanne Defay (Fra, wild card)
Heat 4 : Stephanie Gilmore (AUS), Paige Hareb (NZL), Jacqueline Silva (BRÉ)
Heat 5 : Carissa Moore (HAW), Sofia Mulanovich (PER), Justine Dupont (FRA)
Heat 6 : Laura Enever (AUS), Malia Manuel (HAW), Pauline Ado (FRA)
*Remplace la Brésilienne Silvana Lima, blessée.
Suivre en LIVE le Roxy Pro Biarritz → ICI
La Côte des Basques, ce mardi midi. Photo Vincent Martin
14:00 Publié dans ASP Women's World Tour, Roxy Pro Biarritz | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note | Tags : surf, asp, women's world tour, cote des basques, roxy pro biarritz, gilmore, fitzgibbons, ado, dupont, photo, moore, conlogue, enever, wright, manuel, peterson, ho, defay
Le Roxy Pro Biarritz ouvre ce mardi, à midi !
Titulaire d'une wild card, Johanne Defay est l'une des trois Françaises engagées au Roxy Pro, avec les surfeuses du Top 17 Pauline Ado et Justine Dupont. Photo © Bonnarme / Roxy
ROXY PRO BIARRITZ – FRANCE (Women's World Tour / Jour 1) Sixième et avant-dernière étape du championnat du monde féminin de surf, le Roxy Pro Biarritz prend ses quartiers sur la Côte des Basques à partir de ce mardi, et au plus tard jusqu'à samedi, date limite de la waiting period. Les trois coups de l'unique manche du Women's World Tour 2012 disputée en Europe seront donnés à midi – si les conditions sont au rendez-vous (1 mètre environ ce mardi) – et lanceront les six séries du 1er tour dans lesquelles seront engagées trois Françaises : les deux habituelles pensionnaires du Top 17, l'Hendayaise Pauline Ado et la Canaulaise Justine Dupont en quête de maintien au sein de l'élite mondiale, auxquelles s'ajoute la vice-championne du monde junior réunionnaise Johanne Defay, bénéficiaire d'une wild card.
La Brésilienne Silvana Lima – blessée de longue date – exceptée, toutes les meilleures surfeuses de la planète sont réunies cette semaine au Pays basque, avec en toile de fond la bataille pour le titre mondial que se livrent depuis le début de la saison les deux Australiennes Steph Gilmore (24 ans) et Sally Fitzgibbons (21 ans). La quadruple championne du monde (Gilmore, de 2007 à 2010) mène actuellement la danse et une victoire de sa part au Roxy Pro – comme en 2011 – lui assurerait un cinquième sacre mondial si dans le même temps sa principale rivale n'atteignait pas la finale. Dans tous les autres cas, il faudrait attendre l'ultime manche en Californie, début août, pour connaître celle qui succèdera au palmarès du Women's World Tour à l'Hawaiienne Carissa Moore.
Le 1er tour (les premières de chaque série qualifiées directement pour le 3e tour) :
Premier call mardi à midi
Heat 1 : Courtney Conlogue (USA), Coco Ho (HAW), Sarah Mason* (NZL)
Heat 2 : Tyler Wright (AUS), Lakey Peterson (USA), Sage Erickson (USA)
Heat 3 : Sally Fitzgibbons (AUS), Rebecca Woods (AUS), Johanne Defay (Fra, wild card)
Heat 4 : Stephanie Gilmore (AUS), Paige Hareb (NZL), Jacqueline Silva (BRÉ)
Heat 5 : Carissa Moore (HAW), Sofia Mulanovich (PER), Justine Dupont (FRA)
Heat 6 : Laura Enever (AUS), Malia Manuel (HAW), Pauline Ado (FRA)
*Remplace la Brésilienne Silvana Lima, blessée.
Suivre en LIVE le Roxy Pro Biarritz → ICI
09:15 Publié dans ASP Women's World Tour, Roxy Pro Biarritz | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note | Tags : surf, asp, women's world tour, cote des basques, roxy pro biarritz, gilmore, fitzgibbons, ado, dupont, photo, moore, conlogue, enever, wright, manuel, peterson, ho, defay
09/07/2012
Un Roxy Pro Biarritz à forts enjeux
ROXY PRO BIARRITZ – FRANCE (Women's World Tour / J-1) Pour la seconde année consécutive, les 17 meilleures surfeuses du monde font escale cette semaine (du mardi 10 au samedi 14 juillet) sur la Côte des basques, à Biarritz, pour y disputer le Roxy Pro, avant-dernière épreuve du championnat du monde 2012. Duel pour le titre mondial, victoire sur le prestigieux beachbreak biarrot et lutte pour le maintien, la compétition s'annonce – et sera – acharnée.
Gilmore vs Fitzgibbons, duel pour un titre
Une chose est (quasiment) certaine, la couronne mondiale 2012 n'échappera pas à une Australienne : Steph Gilmore (24 ans) ou Sally Fitzgibbons (21 ans). La quadruple championne du monde (Gilmore, de 2007 à 2010), revenue cette saison à son meilleur niveau après une agression subie fin 2010, et la double vice-championne du monde (Fitzgibbons, en 2010 et 2011) comptabilisent respectivement 38400 et 36900 points, loin devant Carissa Moore et ses 30200 unités, la championne du monde hawaiienne en titre, sacrée l'an dernier à... Biarritz.
Alors, Gilmore et son surf radical mais toujours gracieux ou Fitzgibbons au style aussi efficace que fluide ? Entre les deux jolies Australiennes, le titre mondial 2012 balance.
Sally Fitzgibbons et Steph Gilmore, lundi, lors de la conférence de presse du Roxy Pro. Photo © Greg Rabejac / Roxy
Avec deux victoires chacune cette saison – Gilmore à Snapper et à Taranaki, Fitzgibbons à Bells et à Rio –, les deux surfeuses aussies n'ont laissé que des miettes à leurs adversaires, ramassées soigneusement à Dee Why par Courtney Conlogue. Après la dernière étape de la saison, début août en Californie, seuls les six meilleurs résultats (sur sept) de chaque surfeuse seront retenus au classement final du championnat du monde.
À l'orée de la manche basque, Gilmore devance Fitzgibbons au bénéfice de sa finale à Bells, contre une troisième place à Snapper pour la seconde. Une victoire à Biarritz de l'actuelle leader du classement contraindrait sa dauphine provisoire à atteindre au minimum la finale afin de repousser l'échéance jusqu'au Nike US Open of Surfing. Dans tous les autres cas de figure (une 3e place de Gilmore conjuguée à un succès de Moore ou Conlogue remettrait même "mathématiquement" l'une de ces deux filles dans la course !), le sacre de la reine 2012 n'interviendra qu'aux États-Unis le mois prochain.
Qui pour la victoire à Biarritz ?
Derrière les deux "ogresses" du circuit, Courtney Conlogue est la seule à avoir tiré son épingle du jeu, en triomphant pour la première fois de sa carrière dans une épreuve du WCT, en avril, au Beachley Classic. Lauréate, début juin, du Star 6* Swatch Pro à Seignosse, la toute jeune Américaine (19 ans) sera l'adversaire numéro 1 de Gilmore et Fitzgibbons pour la victoire à Biarritz.
Courtney Conlogue. Photo © ASP / Robertson
En net retrait par rapport à sa fantastique saison 2011, Carissa Moore a déjà (presque) fait le deuil de son titre mondial. Toujours dans l'attente d'un succès en 2012, l'Hawaiienne, finaliste sur la Côte des Basques l'an dernier, se verrait bien profiter du duel à distance que ne vont pas manquer de se livrer Gilmore et Fitzgibbons pour enfin défricher son palmarès cette saison. Les Australiennes Laura Enever, finaliste sur la Gold Coast, et Tyler Wright, déjà trois fois demi-finaliste sur le Dream Tour cette saison, seront à surveiller de près, tout comme la rookie hawaiienne Malia Manuel, dont l'appétit a été aiguisé par sa finale à Dee Why.
Après un début d'année poussif, Coco Ho (Haw), finaliste de l'étape précédente à Rio, semble avoir retrouvé fougue et confiance. Sans oublier l'Américaine Lakey Peterson, pas encore 18 ans, et qui, pour sa première saison dans l'élite, a déjà atteint les demi-finales à Taranaki, avec au passage une victoire en quarts face à... Fitzgibbons. Gare à elles !
Ado et Dupont en quête de maintien
Seules les filles classées dans les dix premières au classement du Women's World Tour à l'issue du Nike US Open of Surfing seront automatiquement maintenues dans le Top 17 en 2013. Neuf strapontins semblent déjà acquis à Gilmore, Fitzgibbons, Moore, Conlogue, Enever, Wright, Manuel, Peterson et Ho. En reste donc un qui ne s'offrira qu'à l'une de ces surfeuses : l'Australienne Rebecca Woods (10e, 18000 pts), les Néo-Zélandaises Paige Hareb (11e, 18000) et la remplaçante Sarah Mason (13e, 14450), l'ex-championne du monde péruvienne Sofia Mulanovich (12e, 17750), les Brésiliennes Silvana Lima (14e, 12200, absente des quatre dernières étapes pour cause de blessure et de nouveau forfait à Biarritz) et Jacqueline Silva (18e, 8250), les Françaises Pauline Ado (14e, 12200) et Justine Dupont (16e, 11000), et l'Américaine Sage Erickson (16e, 11000).
Pauline Ado. Photo © ASP / Kirstin
Accablée par quatre sorties d'affilée dès le 2e tour et un surf en berne, Pauline Ado a rectifié le tir et retrouvé tout son peps au Brésil en atteignant les quarts de finale, et, mieux, en y taquinant la future gagnante, Sally Fitzgibbons. Presque à domicile, l'Hendayaise, demi-finalise en 2011, peut espérer claquer la (grosse) performance qui lui permettrait de se replacer dans la course au maintien. Justine Dupont devra en faire de même si elle ne veut pas s'éclipser du Dream Tour la saison prochaine, après seulement une année de pratique.
Si la Canaulaise n'a plus le moindre joker dans sa combinaison, Pauline Ado en dispose, elle, un de taille : sa 4e place actuelle au World Ranking, qui donnera l'accès à l'élite aux six mieux classées (hors top 10 du World Tour). De quoi enlever un soupçon de pression à la surfeuse basque (21 ans) avant le rendez-vous biarrot.
Le 1er tour (les premières de chaque série qualifiées directement pour le 3e tour) :
Premier call mardi à midi
Heat 1 : Courtney Conlogue (USA), Coco Ho (HAW), Sarah Mason* (NZL)
Heat 2 : Tyler Wright (AUS), Lakey Peterson (USA), Sage Erickson (USA)
Heat 3 : Sally Fitzgibbons (AUS), Rebecca Woods (AUS), Johanne Defay (Fra, wild card)
Heat 4 : Stephanie Gilmore (AUS), Paige Hareb (NZL), Jacqueline Silva (BRÉ)
Heat 5 : Carissa Moore (HAW), Sofia Mulanovich (PER), Justine Dupont (FRA)
Heat 6 : Laura Enever (AUS), Malia Manuel (HAW), Pauline Ado (FRA)
*Remplace la Brésilienne Silvana Lima, blessée.
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→ Warm up Session de samedi ici ↓
♦ ASP Women's World Tour 2012 :
1. Roxy Pro Gold Coast, Australie : Stephanie GILMORE (Aus)
2. Rip Curl Pro Bells Beach, Australie : Sally FITZGIBBONS (Aus)
3. TSB Bank NZ Surf Festival Taranaki, Nouvelle-Zélande : Stephanie GILMORE (Aus)
4. Commonwealth Beachley Classic Dee Why, Australie : Courtney CONLOGUE (USA)
5. Billabong Rio Pro, Brésil : Sally FITZGIBBONS (Aus)
6. Roxy Pro Biarritz, France : 10 - 14 juillet
7. Nike US Open of Surfing, États-Unis (Californie) : 30 juillet - 5 août
♦ Le Top 7 du Women's World Tour après le Billabong Rio Pro (5/7) :
1. Stephanie Gilmore (AUS), 38400 pts
2. Sally Fitzgibbons (AUS), 36900 pts
3. Carissa Moore (HAW), 30200 pts
4. Courtney Conlogue (USA), 29600 pts
5. Tyler Wright (AUS), 28700 pts
6. Laura Enever (AUS), 27600 pts
7. Malia Manuel (HAW), 26400 pts
...
14. Pauline Ado (FRA), 12200 pts
15. Justine Dupont (FRA), 11000 pts
Seuls les six meilleurs résultats de chaque surfeuse sont conservés à l'issue de la saison.
À l'issue de la saison, les surfeuses qui terminent dans le top 10 du Women's World Tour sont requalifiées pour l'année suivante, auxquelles s'ajoutent les six mieux classées du World Ranking (hors top 10 du WWT) et une wild card permanente
→ Les hommes prennent la direction de Jeffreys Bay
BILLABONG PRO JEFFREYS BAY – AFRIQUE DU SUD (Star 6*) Bye bye Ballito, hello Jeffreys Bay ! Cette semaine (du 10 au 15 juillet), les surfeurs du circuit ASP changent de spot mais pas de pays. Dans la foulée du Prime Mr Price Pro Ballito remporté dimanche par Glenn Hall, le Star 6* Billabong Pro J-Bay prend le relais dans la province sud-africaine du Cap Oriental. Remporté ces deux dernières années par Jordy Smith (AFS), le contest ne bénéficie plus en 2012 du label World Tour.
En conséquence, ils ne seront "que" dix surfeurs de l'élite à venir se mesurer au conditions de Supertubes : le tenant du titre Jordy Smith, Adriano de Souza (Bré), Alejo Muniz (Bré), Adam Melling (Aus), Yadin Nicol (Aus), CJ Hobgood (USA), Pat Gudauskas (USA), Brett Simpson (USA), Travis Logie (AFS) et John John Florence (Haw). Les Français, passés inaperçus à Ballito (plus aucun au 3e tour), seront encore présents en nombre : Joan Duru et Marc Lacomare qui seront dans la même série au round of 96 (sous réserve de modifications de dernière minute) pour lequel est également directement qualifié Romain Cloître (dans le même heat que Mitch Coleborn), tandis que Maxime Huscenot, Medi Veminardi, Adrien Toyon et Charly Martin devront d'abord en passer par le round of 144. Vents offshore et houle généreuse sont annoncés pour la durée du contest.
♦ Le 1er tour des Français :
Heat 14 : Adrien Toyon (Fra), Jano Belo (Bré), Nils Schweizer (Aus), David Van Zyl (AFS)
Heat 15 : Charly Martin (GLP), Garrett Parkes (Aus), Chad du Toit (AFS), Matthew Bromley (AFS)
Heat 19 : Bernardo Miranda (Bré), Tim Reyes (USA), Medi Veminardi (Réu), Nathan Florence (Haw)
Heat 21 : Keanu Asing (USA), Maxime Huscenot (Fra), Carlos Muñoz (CRI), Andrew Lange (AFS)
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vendredi 19 octobre 2012
Dents de la mer
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Le grand requin blanc restera-t-il une espèce protégée?
Créé le 19-07-2012 à 12h57 - Mis à jour le 02-08-2012 à 15h57Par Olivier Lascar
Sciences et Avenir
Le fameux Carcharodon Carcharias est-il en danger? Après une attaque mortelle survenue le 14 juillet en Australie, une déclaration du ministre de la Pêche de l’Etat d’Australie occidentale jette le trouble… Sciences et Avenir a recueilli la réaction du spécialiste des requins Bernard Séret (IRD).
Mots-clés : Blanc, attaques, GRAND, requins, perth, squale
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Sciences et avenir
Le grand requin blanc restera-t-il une espèce protégée? Après une récente attaque en Australie, la déclaration du ministre de la Pêche jette le trouble. ATLAS PHOTOGRAPHY/SIPA
Les surfeurs avaient remarqué depuis plusieurs jours la longue silhouette de l’animal qui furetait du côté de l’île de Wedge, dans la région de Perth, à l’ouest de l’Australie. Ils l’avaient même surnommé Brutus. Cela n’avait pas empêché ces amoureux des vagues de profiter de l’océan. Mais le samedi 14 juillet, Brutus a attaqué et tué un jeune homme de 24 ans. Le corps de Benjamin Linden n’a pas été retrouvé. Au lendemain de la mort du surfeur, plusieurs plages ont été fermées. L’émotion était palpable jusque dans la réaction de Norman Moore, le ministre de la Pêche de l’Etat d’Australie occidentale. « Nous consacrons 14 millions de dollars australiens (11,7 millions d’euros) pour mieux comprendre les requins blancs et les raison de ces attaques, a déclaré le ministre à la presse. Je me demande si ces recherches nous diront que le nombre de requins blancs a augmenté et alors nous devrons peut-être nous demander s’ils doivent rester une espèce protégée ».
Sciences et Avenir: Bernard Seret, vous êtes biologiste marin et spécialiste des requins à l’IRD. Selon vous, la déclaration du ministre Australien augure-t-elle d’un changement de statut du grand requin blanc ?
Bernard Seret: quand survient une attaque comme celle-là, c’est un choc terrible qui se ressent jusqu’au plus haut niveau de l’Etat. Je comprends la réflexion de Norman Moore mais je pense qu’elle est à mettre sur le compte de l’émotion. A mon sens elle n’annonce pas de changement dans le statut du grand requin blanc. C’est un animal protégé par la CITES – autrement dit la « Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction » qu’on appelle plus généralement « convention de Washington » (voir encadré). A cet égard, l’Australie – et l’Afrique du Sud – ont été à l’avant-garde du mouvement. Je les imagine difficilement revenir en arrière.
L’Australie connaît-elle une «année noire» en terme d’attaques?
Non. Cet accident est le cinquième dans la région depuis le début de l’année. Or la décennie "record" est celle des années 1940 avec 40 cas mortels, puis celle des années 1950 avec 20 cas mortels. Le nombre global d'attaques en Australie a augmenté dans les années 2000, mais le nombre de cas mortels est relativement stable, variant de 10 à 16 / décennies, depuis les années 1960… Par ailleurs la zone de Perth est connue pour être un lieu de passage des Grands Blancs. Leur présence là-bas n’est pas surprenante, c’est le contraire qui le serait !
Crédit: IMAGEBROKER/IMAGO/SIPA
A l’échelle de la planète, y a-t-il une recrudescence des attaques de requin?
Je n’utiliserais pas ce terme de « recrudescence ». Tout ce que l’on peut dire, c’est qu’il y a une légère augmentation de la moyenne annuelle des attaques. Pour la décennie1990, on a recensé 500 attaques soit 50 par an avec un taux de mortalité de 12%. Dans la décennie suivante, entre 2000 et 2010, le nombre global était de 650 soit 65 attaques par an avec un taux de mortalité en diminution: 8 %. Cette amélioration est due à une meilleure prévention et une meilleure organisation des secours aux victimes.
A quoi cette légère augmentation du nombre d’attaques est-elle due ?
Essentiellement à la popularité des sports et des activités nautiques. Le comportement des requins n’a pas changé. Celui des hommes, si : il y a de plus en plus de monde dans l’eau !
Mais n’y a-t-il pas d’explications nouvelles et concrètes aux attaques de requins ? Dans les récents cas de l’île de la Réunion, on avait évoqué le rôle des DCP (dispositif de concentration de poissons). Ces dispositifs ont pour objectif de fixer les bancs de thons, ainsi à la disposition des pêcheurs, mais attireraient du coup les requins…
Cette hypothèse a effectivement été évoquée pour la Réunion : elle va sans doute être levée. Les requins attirés par les DCP ne semblent pas être de la même espèce que ceux incriminés dans les attaques. Alors non, il n’y a pas d’explication nouvelle. Pour en revenir à l’Australie, on disait que le Shark Feeding, cette activité touristique consistant à appâter les requins avec de la nourriture pour les attirer vers des cages où des bateaux, pouvait modifier le comportement des squales. Elle a été heureusement largement abandonnée.
Pas de psychose, donc…
Il faut se garder du syndrome «
» comme de tout angélisme. La bonne position est intermédiaire : n’importe qui ne fait pas n’importe quoi, avec les requins… Pensez qu’il y a des plongeurs extrêmement expérimentés qui sortent même des cages pour nager au contact des Grands Blancs. Mais ce sont des gens qui sont tous les jours dans l’eau, qui ne nagent qu’à proximité des femelles – elles sont moins agressives que les mâles – et savent détecter la moindre variation dans leur comportement… A peine s’ils ne les connaissent pas par leurs petits noms !
Encadré :
Le grand requin blanc est inscrit en annexe 2 de la CITES: cela signifie qu'il faut un certificat CITES pour vendre tout ou partie d'un requin blanc, d'un pays à un autre. En revanche un requin blanc peut être vendu sans certificat CITES dans le pays où il a été capturé. A cela s'ajoute des réglementations nationales et régionales qui le protègent plus spécifiquement, par exemple sa capture est interdite dans les eaux communautaires de l'UE, et en Méditerranée, il est totalement protégé par la Convention de Barcelone.
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