Le Chaudron 2 pointe son nez.... une évidence que tout monde semble occulter !
Le climat social à la réunion est en train de se dégrader significativement...
sur fond de crise mondiale, européenne et avec la France au bord de la faillite...
les jeunes veulent du travail, et du travail il n'y en a pas...
il y en a de moins en moins, l'État au bord de la faillite, c'est tout le système qui part en vrille, l'état n'est plus capable d'injecter indéfiniment des dizaines de millions d'euros dans notre système social en déclin...
la réunion avec ses 30 % de chômeurs est un véritable chaudron en ébullition.
nous risquons d'assister dans les jours à venir à une aggravation des événements préjudiciable pour l'ensemble de la société réunionnaise
dans un tel contexte, la crise touristique qui commence à frapper la réunion, aggravée par la mauvaise gestion de la crise requin, vient ce surajoutée à une situation déjà explosive.
le développement touristique qui était censé être le moteur de l'économie de l'île, créateur de "valeur ajoutée et d'emplois " comme le précise le Schéma de Développement et d'Aménagement Touristique de la Réunion (SDATR 2002).
Or actuellement, tout ce volet est au point mort, avec une zone balnéaire sinistrée, et des touristes qui ne connaissent la réunion qu'à travers le prisme dramatique des attaques de requins...bienvenue à l'ile aux requins...
tous les décideurs et les politiques le savent, et pourtant il continue à chercher à gagner du temps et se sont condamnés, par leur inaction dans la crise requin, la porte du développement touristique.
cela fera deux ans demain jour pour jour qu' Éric d'argent, "touriste zoreil" s'était fait attaquer à St Gilles (zoreiland) le 19 février 2011
cela fait deux ans que l'on demande aux pouvoirs publics d'agir et de nous soutenir...en vain...
notre combat la sécurisation des plages et la réduction du risque d'attaque de requin, qui a toujours été présenté avec dérision dans les médias et les "verts foncés"comme un caprice d'enfant gâté n'en était pas un, je peux vous l'assurer.
C'était un combat pour l'avenir et le développement de notre île à travers la préservation d'une image attrayante, accueillante qui aurait bien évidemment contribué au développement touristique global dans l'intérêt de la Réunion.
mais personne se souciait d'une bande de petits surfeurs, prétendus "zoreils" de surcroît (ma famille est présente dans l'île depuis 1663) , face à quelques requins "réunionnais" qui se devaient d'être privilégiés, dans une perspective d'inscription au patrimoine de l'Unesco sur fond "d'enjeux écologiques" (démagogiques ?) liés à des ambitions politiques individuelles (démesurées ?).
Personne ne nous a soutenu à ce moment-là, ils ont préféré laisser faire un glissement ethnique qui aura contribué jusqu'à aujourd'hui encore à renforcer un racisme de plus en plus présent, alimenté par un concept de "préférence régionale" manipulé sans scrupule par les agitateurs de service.
De plus en plus de gens n'en arrivent t-ils pas à considérer que ce sont ces Français zoreils qui viennent "voler leur travail" qui sont responsables de cette situation ?
Idéologie malsaine alimentée par des mouvances manipulatrices, s'appuyant sur une extrême détresse sociale ?
Le clivage zoreil/créole ne risque-t-il pas d'aller en s'accentuant ?
Les institutions auraient dû dès le départ s'attaquer fermement la réduction du risque d'attaque de requin, cela aurait pu éviter un tel glissement ethnique, tout en permettant de préserver l'image attractive de notre île.
mais ils ont préféré faire l'autruche, pour qu'au bout de deux ans, ils finissent par enfin comprendre qu'ils ont fait fausse route, et qu'ils auraient dû nous écouter.
c'est un parfait exemple de mauvaise gestion politique, deux ans après, la crise est loin d'être réglée, avec les attaques qui risquent de survenir encore, le pire reste à venir pour notre île...
beaucoup de responsables de cette situation ou ne seront plus la voir le résultat, (plusieurs sont déjà partis) voguant vers d'autres horizons plus cléments...
mais nous ne les oublierons pas...
Pour conclure, rappelons que nos décideurs n'étaient pas censé ignorer ce contexte explosif, comme le disait un sociologue notamment en 2003 : « Le contexte socioculturel de La Réunion ne s’apparente t-il pas alors à un volcan en ébullition permanente qui oblige les acteurs politiques à développer des stratégies de régulation …/…afin d’éviter l’implosion sociale ? .../... si une grave crise sociale venait à se produire c’est toute l’île de La Réunion qui s’enfoncerait dans les profondeurs de l’Océan".
sur fond de crise mondiale, européenne et avec la France au bord de la faillite...
les jeunes veulent du travail, et du travail il n'y en a pas...
il y en a de moins en moins, l'État au bord de la faillite, c'est tout le système qui part en vrille, l'état n'est plus capable d'injecter indéfiniment des dizaines de millions d'euros dans notre système social en déclin...
la réunion avec ses 30 % de chômeurs est un véritable chaudron en ébullition.
nous risquons d'assister dans les jours à venir à une aggravation des événements préjudiciable pour l'ensemble de la société réunionnaise
dans un tel contexte, la crise touristique qui commence à frapper la réunion, aggravée par la mauvaise gestion de la crise requin, vient ce surajoutée à une situation déjà explosive.
le développement touristique qui était censé être le moteur de l'économie de l'île, créateur de "valeur ajoutée et d'emplois " comme le précise le Schéma de Développement et d'Aménagement Touristique de la Réunion (SDATR 2002).
Or actuellement, tout ce volet est au point mort, avec une zone balnéaire sinistrée, et des touristes qui ne connaissent la réunion qu'à travers le prisme dramatique des attaques de requins...bienvenue à l'ile aux requins...
tous les décideurs et les politiques le savent, et pourtant il continue à chercher à gagner du temps et se sont condamnés, par leur inaction dans la crise requin, la porte du développement touristique.
cela fera deux ans demain jour pour jour qu' Éric d'argent, "touriste zoreil" s'était fait attaquer à St Gilles (zoreiland) le 19 février 2011
cela fait deux ans que l'on demande aux pouvoirs publics d'agir et de nous soutenir...en vain...
notre combat la sécurisation des plages et la réduction du risque d'attaque de requin, qui a toujours été présenté avec dérision dans les médias et les "verts foncés"comme un caprice d'enfant gâté n'en était pas un, je peux vous l'assurer.
C'était un combat pour l'avenir et le développement de notre île à travers la préservation d'une image attrayante, accueillante qui aurait bien évidemment contribué au développement touristique global dans l'intérêt de la Réunion.
mais personne se souciait d'une bande de petits surfeurs, prétendus "zoreils" de surcroît (ma famille est présente dans l'île depuis 1663) , face à quelques requins "réunionnais" qui se devaient d'être privilégiés, dans une perspective d'inscription au patrimoine de l'Unesco sur fond "d'enjeux écologiques" (démagogiques ?) liés à des ambitions politiques individuelles (démesurées ?).
Personne ne nous a soutenu à ce moment-là, ils ont préféré laisser faire un glissement ethnique qui aura contribué jusqu'à aujourd'hui encore à renforcer un racisme de plus en plus présent, alimenté par un concept de "préférence régionale" manipulé sans scrupule par les agitateurs de service.
De plus en plus de gens n'en arrivent t-ils pas à considérer que ce sont ces Français zoreils qui viennent "voler leur travail" qui sont responsables de cette situation ?
Idéologie malsaine alimentée par des mouvances manipulatrices, s'appuyant sur une extrême détresse sociale ?
Le clivage zoreil/créole ne risque-t-il pas d'aller en s'accentuant ?
Les institutions auraient dû dès le départ s'attaquer fermement la réduction du risque d'attaque de requin, cela aurait pu éviter un tel glissement ethnique, tout en permettant de préserver l'image attractive de notre île.
mais ils ont préféré faire l'autruche, pour qu'au bout de deux ans, ils finissent par enfin comprendre qu'ils ont fait fausse route, et qu'ils auraient dû nous écouter.
c'est un parfait exemple de mauvaise gestion politique, deux ans après, la crise est loin d'être réglée, avec les attaques qui risquent de survenir encore, le pire reste à venir pour notre île...
beaucoup de responsables de cette situation ou ne seront plus la voir le résultat, (plusieurs sont déjà partis) voguant vers d'autres horizons plus cléments...
mais nous ne les oublierons pas...
Pour conclure, rappelons que nos décideurs n'étaient pas censé ignorer ce contexte explosif, comme le disait un sociologue notamment en 2003 : « Le contexte socioculturel de La Réunion ne s’apparente t-il pas alors à un volcan en ébullition permanente qui oblige les acteurs politiques à développer des stratégies de régulation …/…afin d’éviter l’implosion sociale ? .../... si une grave crise sociale venait à se produire c’est toute l’île de La Réunion qui s’enfoncerait dans les profondeurs de l’Océan".
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