Les professionnels du surf ne profitent que très peu des retombées de la discipline qui attire pourtant un grand nombre de pratiquants (Photos : Ludovic Laï-Yu).
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Favori Commenter FacebookGoogleLiveMySpaceTwitterWikioLe nombre de pratiquants explose mais les entreprises locales n’en bénéficient pas ou peu. Paradoxal monde de la glisse dont la flambée des années 90 n’est plus désormais qu’un lointain souvenir. Concurrence internationale, marché parallèle, manque de volonté politique, le surf business ne décolle pas. Explications.
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Introduit à la Réunion à la fin des années 60 par des touristes australiens, le surf n’a connu de véritable essor sur l’île qu’à la fin des années 80 pour devenir un phénomène de mode quelques années plus tard à la fin de la décennie 90. Depuis, le nombre de pratiquants ne cesse d’augmenter. Difficile à évaluer d’ailleurs puisque l’immense majorité des amateurs de vagues ne sont répertoriés nulle part. On estime à moins de 10% le nombre de pratiquants licenciés dans la poignée de clubs locaux. Seule la fréquentation des “spots” donne donc un aperçu de la cohue. “Sûrement plus de 5 000 surfeurs réguliers”, avancent certains professionnels du secteur. Soit au moins 5 fois plus qu’il y a 10 ans.
Un engouement sans précédent donc mais dont ces professionnels justement ne bénéficient pas ou peu. Car l’économie du surf, le surf business, stagne à la Réunion depuis quelques années. L’embellie des années 90 est désormais bien loin et ne s’est d’ailleurs produite que parce qu’il n’existait rien avant ou presque. Quelques surfshop sont donc toujours ouverts, à Saint-Gilles pour la plupart mais aussi à Saint-Pierre et à l’Etang-Salé. Peu néanmoins et les temps semblent particulièrement difficiles. Le magasin à consonance polynésienne qui venait d’ouvrir à la Saline n’a pas tenu plus de trois mois.
Même le textile stagne
Même la folie du surfwear n’exalte plus les importateurs et revendeurs de tee-shirt ou de shorts. Distributeur de la marque emblématique Quicksilver, Jean-Bernard Phaure estime à seulement 20% la progression de ses importations depuis 5 ans. C’est peu comparé aux taux de croissance annuels à deux chiffres qu’ont connu ces secteurs par le passé. Son homologue de Billabong (n°1 mondial en 2008) n’est pas plus enthousiaste. Pas de chiffre mais une formule lapidaire : “Ce sont pas des affaires qui vous enrichissent”. Idem pour les shapers, les fabricants de planches, dont l’un des pionniers, Thierry Dellbourg, a d’ailleurs fermé son atelier récemment. Le Saint-Leusien Mickey Rat, l’ancien, n’est désormais concurrencé que par Olivier Théraube, le patron de Choka et par quelques marques moins connues comme Iluka, Primate ou Karv. Quelles sont donc les raisons de ce coup de frein ? Les analyses des professionnels convergent pour la plupart.
La concurrence des marchés parallèles
Premier handicap : la concurrence internationale. Avec Maurice d’abord qui truste le marché du textile surf dans la zone. Moitié moins cher il y a encore trois ans et encore 25 à 30 % en deçà des prix réunionnais aujourd’hui. Fabrice Caillé en est certain. “Mon homologue importateur de Billabong vient d’y ouvrir un neuvième magasin. Il réalise un chiffre d’affaires équivalent à celui de Durban, la capitale du surf en Afrique du Sud”. Maurice n’est pas une destination surf mais profite à plein des touristes réunionnais pour écouler son surfwear à prix cassés. Avec l’Afrique du Sud ensuite où le surf business s’est industrialisé. À volumes importants, mécanisation de la production, réduction des coûts et tarifs sans comparaison. Si l’on ajoute des matières premières moins chères, le résultat est là : une planche de surf se vend là-bas pour le prix coûtant d’ici. Le surfeur voyageur en profite donc pour s’y fournir régulièrement et son entourage par la même occasion. “Il y a des gens qui n’hésitent pas à ramener une dizaine de planches pour les ramener ici et les revendre”, explique le patron de Choka. Un véritable marché parallèle alimenté aussi depuis la Thaïlande où des planches s’achètent à 90 dollars US. Un modèle équivalent produit sur l’île ne se trouve pas à moins de 400 ou 500 euros.
Deuxième frein au développement : l’absence de tourisme surf. De taille limitée, le marché local n’est en effet pas alimenté par une clientèle extérieure comme celle dont peuvent bénéficier en métropole les côtes landaise et basque. Ici pas ou très peu de touristes spécifiquement venus pour la pratique des sports de glisse. Pourtant avec 300 jours de vagues par an, une telle diversité de spots et une température de l’eau qui ne descend pas en dessous des 25°, le petit Hawaii européen devrait attirer tous les fans de glisse de la planète.
Or, ce surnom couramment entendu n’est absolument pas fondé. “Trop cher”, répondent d’abord en chœur les professionnels locaux. Transport, hôtellerie, alimentation, la Réunion ne peut pas concurrencer des destinations comme Bali ou l’Afrique du sud. “Les Australiens par exemple sont déjà venus. Mais s’ils prévoient de rester trois semaines, ils partent à la fin de la première parce que la vie coûte trop cher”, explique Cyril Thévenau, patron de l’école Ipomoea et pionnier parmi les pionniers. Sans compter que la Réunion n’est que trop peu promotionnée comme une destination surf. Île intense oui, machine à vagues, rarement.
L’arrêt des compétitions internationales en 2005 a également porté un coup. Là encore “trop chères” estiment les uns, “mal organisées” assurent les autres. Et pourtant, tous admettent que la venue des meilleurs surfeurs de la planète soutenait l’activité. “Ça profiterait à tout le monde”, explique encore Cyril Thévenau. “Des événements comme ça, c’est 10 fois mieux que n’importe quoi d’autre en terme d’image”, appuie Jean-Bernard Phaure. Il semble également que ces “world tour” soient mal acceptés sur les vagues. Un localisme qui, associé au danger requin, contribue à ternir la réputation de l’île, indéniablement.
Les entreprises du surf business réunionnais sont donc contraintes de s’adapter (voir par ailleurs). Et toutes ne perdent pas l’espoir de développer le secteur dans les années à venir. Beaucoup misent notamment sur les retombées d’une génération dorée, celle des Jérémy Florès, Maxime Huscenot et autres Amaury Lavernhe, de jeunes surfeurs réunionnais qui enchaînent ces derniers mois les victoires sur le circuit mondial. Jean-Bernard Phaure notamment y croit fermement. “Avec des jeunes comme ça, ce n’est pas possible que l’avenir ne soit pas meilleur”
Textes : Romain Latournerie
Chiffre d’affaires mondial : 12 milliards en 2008
En légère baisse de 2% en 2008, le marché mondial des sports de glisse se chiffrait à près de 40 milliards d’euros dont plus de 21 milliards sur le continent nord-américain. Stable comparé à 2007, le surf business à lui seul, c’est-à-dire hors sports d’hiver, s’élevait à 12,2 milliards. Ces chiffres sont publiés par l’observatoire économique de l’EuroSima, un groupement d’acteurs privés et publics fondé en France pour assurer la promotion et le développement des sports de glisse.
"lechat" Yesterday is history............ Tomorrow is a mystery....... Today is a gift.................... That's why it's called "the present"!!! Enjoy and savor each day.....
mardi 27 avril 2010
lundi 26 avril 2010
vendredi 23 avril 2010
jeudi 22 avril 2010
les surfeur de la baie du cap
C'est seulement quand un actif vaste ensemble des sections extérieures que nous comprenons le potentiel réel. Les enfants, en masse, nous conduire à des sections extérieures et exigeante de leur vague. Il s'agit d'une session mémorable. Randy utilise toute l'expérience accumulée à Sunset pour voir les plus grosses vagues et Tubos dans les chantiers et le long des grottes succhiose de ce droit. Erwan et je n'arrive pas à arrêter de prendre si facile et parfait, des dizaines de fois le long du canal de profondeur, à chaque fois avec un grand sourire. Ce n'est qu'à la fin de la session, nous soucier de trouver un endroit pour dormir. On trouve sur la plage où une famille locale, nous louer un chalet donnant sur la place. Cette routine idyllique se poursuit pendant plusieurs jours pendant lesquels nous avons le temps de comprendre les rythmes de la vie de cette communauté très particulière nourrie et les surfeurs. A en juger par les plaques utilisées, le contact avec le surf "blanc" a été minime, voire nul. Mais leur attitude ne diffère pas beaucoup de celle des surfeurs de l'Ouest. Durant les longues pauses entre la marée haute et l'autre, les enfants errent dans les flaques d'eau à la recherche des poissons de récif et le poulpe. Lorsque les conditions sont optimales (qui pour eux est long et lent) de pointe sur la foule, en observant les priorités étroitement liée à l'âge et le tonnage physique. Qu'est-ce amener les gens à naviguer dans une réalité hostile géopolitique que Madagascar est souvent une cause de discussion lors de nos voyages à «extrême» comme celui-ci. À la réflexion, cependant, les ressources requises pour la naissance du surf est vraiment minime: les vagues et les tables en bois. Ne pas besoin d'autre chose. Réalité "pré-contact», comme cette culture presque chacun de nos voyages et John, qui a probablement rencontré plus que quiconque a une théorie à ce sujet. "Si vous demandez à un internaute de l'Ouest en raison de sa passion pour les vagues de 99% d'entre vous a répondu« parce que c'est amusant. C'est parce que dans le surf de l'Ouest est une forme de traitement pour le stress. Entre les communautés comme celles-ci sont d'autres raisons. Surf des enfants apprennent à interagir avec l'océan et à conduire un bateau dans les vagues, à comprendre la force de la brise et se synchronise avec les ensembles. " A en juger par l'habileté avec laquelle leurs parents régissent lourds canots à rames dans les brisants de l'océan Indien, John a raison. Le point de droit du Cap sert de salle de gym et école de voile de ce grand village, dont nous préférons d'omettre le nom, qui sait combien de générations. Le fait qu'aucun droit surfin et qu'aucune activité de loisir pratiquée adultes ce qui confirme que le plaisir, cette communauté n'est pas la principale raison. Randy a grandi dans Oahu, en contact étroit avec la culture polynésienne, il note que les tables utilisées par les gens du pays sont tous identiques à body-board OPAPI "bois utilisé depuis des millénaires par les enfants polynésiens. Fabriqué à partir d'une seule pièce de bois rabotés, ces conseils ont en fait une forme rudimentaire demandée. Le nez est rond et possède une entrée bascule alors que la queue est carrée et a des arêtes vives qui fixent loin derrière les courbes des vagues. Au cours de notre session sur le point, je familiariser avec leur style et leur lecture précise de la vague. Depuis pas de nageoire, mais pourvu d'un rail livré, leurs trajectoires efficaces dessin OPAPI et imprévisible. Par exemple, sur un fond de tour, presque incapable de renverser sa direction et se glissa dans le cœur du tube plat. Voir surf debout ne semble pas à l'intrigue m'a beaucoup, mais les conséquences de notre présence ne tarde pas à se faire sentir. Le troisième jour de surf avec Etienne, le plus rusé d'entre eux nous montre fièrement sa nouvelle création. A un aileron en forme de bois semblable à celui de simple fin Randy rompit coincé avec une précision sous son conseil d'administration du ventre. Immédiatement pense que c'est un signe: Cette communauté a besoin d'une table et puis on réparer un, équipées de leash de rechange et de la cire et de confier au chef de village pour être sûr que sera utilisé par tous les coureurs aussi. L'image du petit Stephen, prenant son onde stationnaire premier sera le meilleur souvenir de ce voyage.
spot sauvage de surf mada root !!
En effet, nous trouvons un couple de points à une certaine distance de l'abattoir, sans doute sans danger. Si cela était la seule zone de surf disponible n'hésite pas à jeter à la mer, mais avec plus de 300 km de côtes exposées et à notre insu la pensée de quitter la ville derrière pointant vers d'autres baies. En route vers Foulpointe notre route traverse le passage du cyclone Ivan, qui il ya deux semaines a frappé ces côtes, tuant des centaines de personnes. À son arrivée à Foulpointe, nous voyons les ravages causés. Maisons, bateaux, maisons d'hôtes petites le long de la côte, tout est sur leur voyage a été littéralement soufflé. Les 200 premiers de la plage est pleine de débris, empilées en tas haut et un peu partout. Malheureusement, le potentiel du surf, à l'exception de quelques récifs possible passer loin des côtes, ne sont pas bonnes alors affecté au nord, inquiets de l'état de santé précaire de la côte, nous allons explorer, durement touchée par le cyclone. Le réseau routier de Madagascar est célèbre pour être l'une des pires au monde.
Si cela était la seule zone de surf disponible n'hésite pas à jeter à la mer, mais avec plus de 300 km de côtes exposées et à notre insu la pensée de quitter la ville derrière pointant vers d'autres baies. En route vers Foulpointe notre route traverse le passage du cyclone Ivan, qui il ya deux semaines a frappé ces côtes, tuant des centaines de personnes. À son arrivée à Foulpointe, nous voyons les ravages causés. Maisons, bateaux, maisons d'hôtes petites le long de la côte, tout est sur leur voyage a été littéralement soufflé. Les 200 premiers de la plage est pleine de débris, empilées en tas haut et un peu partout. Malheureusement, le potentiel du surf, à l'exception de quelques récifs possible passer loin des côtes, ne sont pas bonnes alors affecté au nord, inquiets de l'état de santé précaire de la côte, nous allons explorer, durement touchée par le cyclone. Le réseau routier de Madagascar est célèbre pour être l'une des pires au monde. Un incident qui dépasse les malgaches avec une attitude presque zen. Le mot qui définit ce comportement est "mora-mora", un concept à mi-chemin entre le fatalisme de l'Est et de l'adaptabilité des peuples africains. Un exemple de mise en demeure "le rencontrer à quelques miles au nord de Foulpointe, où un pont de bateaux construit par le gouvernement, est systématiquement enterrés par les habitants pour des raisons de profit. Quand un typhon a balayé les vieux pont de pierre, les indigènes ont construit des radeaux de bambou flottant avec l'aide duquel les caravanes de voitures pour traverser le fleuve, évidemment en échange d'argent. Merci à ce truc qui allonge le temps de quelques heures où les véhicules sont stationnés sur les deux rives de la rivière se pose de petites villes avec les marchés, magasins et même un hôtel. Nous trouvons amusant que chaque jour ou presque gouvernement régional envoyer des experts pour réparer le pont, mais qui est régulièrement coulé par les propriétaires des radeaux commis quelques mètres plus loin le long de la rivière. Et même si cette situation perdure depuis des mois, ce qui entrave la circulation des véhicules, aucune des parties ne semble se plaindre ou être nerveux pour le désagrément encouru. "Nous espérons que le même ne se produit pas tous les ponts dans le pays" est le commentaire de notre chauffeur de calme après une couple d'heures dans une rangée entre la poussière et du smog. Si vous trouvez cette attitude très «oriental» vous serez étonné de savoir que la culture malgache a ses racines parmi les Malais ethniques de l'Est et de l'Indonésie. Ces personnes ont traversé l'océan Indien, Madagascar a atterri entre les deuxième et cinquième siècles et a trouvé les ressources naturelles comme la cannelle, les minéraux et le bois, particulièrement recherchés dans la mère patrie. Commerce épousant des siècles, les deux coins opposés de l'Océan Indien et a touché même les côtes africaines d'où ils venaient, attirés par la situation économique favorable, de nombreuses populations africaines. Nous arrivons à Mahambo, la Cité Interdite, le quatrième jour de Voyage, salué par des vagues de hauteur de la tête et un soleil ardent. Nous apportons une certaine appréhension, compte tenu des menaces reçues par email. Il semble impossible que personne ne soit dans l'eau pour profiter de la tempête que ce n'est que le littoral que Fred était conseillé de ne pas visiter à cause du «local». Malgré l'indéniable potentiel de surfeurs Mahambo pas à posséder une destination surf à vendre. Sauf pour un couple de petits hôtels sur la plage ont été gravement endommagés par le dernier ouragan, le village survit sans électricité, des routes pavées et l'eau courante. Derrière la bande des bâtiments face à la plage, les bâtiments sont réduits à une série de cabanes de bois branlantes couvertes de tôle ondulée. Dans les jours après notre arrivée, le vent et les vagues souvent changer de direction nous oblige à explorer une grande partie de la circonscription. La vague est un pays proche de la gauche dispose d'un plaisir et un défi à l'intérieur de petits tubes. Juste au nord, cependant, la plupart de rompre droit sur un bord inférieur et couverte de boucles. De toute évidence, notre présence n'est pas passée inaperçue et la deuxième session, sur la gauche, enfin la rencontre des habitants. Nous nous attendions à goutte dur et des visages, mais à notre grande surprise, la communauté surf Mahambo n'a que dix unités. Le plus ancien parmi les surfeurs seulement 14 ans. Ils sont timides et heureux de rencontrer quelqu'un de l'extérieur que dans un an une moyenne de 10 surfeurs qui atteignent cet avant-poste. Leur équipement se compose uniquement de tableaux laissé partiellement détruite par le peu de visiteurs ici et mal patché avec de la résine pour les bateaux. Un après-midi promenade sur la plage, nous dit enfin "locaux seulement" par Fred speditaci comme un avertissement. Pour écrire, cependant, n'étaient pas les surfeurs du village, entre autres choses qu'ils ne connaissent pas un mot d'anglais, mais le même Fred. Une démonstration de ceci est un signe de lecture seule "Surf School" et des contacts de son agence, plantés dans le sable à proximité. Un de l'impératif catégorique de notre voyage est de ne pas modifier l'équilibre des ondes locales et expose les bords non autorisée éviction. Pour cela, d'abord pour nourrir le ressac des vagues parfaites des médias sur le bord de l'univers, ce que nous nous assurons notre présence pourrait conduire et ce qui cause un éventuel flux d'internautes étrangers. Face à la misère de Mahambo ils deviennent non-problèmes. Compte tenu de l'abondance des vagues de qualité et de la nécessité pour le développement de cette région, l'instance locale de fuoriluogo Fred semble pas juste. Surtout compte tenu du fait que son organisme ne fonctionne pas ici, mais dans la capitale, Merci enrichi à des conditions de vie difficiles de la place et l'inexpérience de ces enfants. Après quelques jours Fred est matérialisé sur la plage exhibant des vêtements gangsta rap, téléphone mobile et une oreille toujours chercher la nouvelle marque Baywatch, avec de la colle tellement "le feu de vie de la Garde rouge et une pile de 15 plaques connectés toit. Une preuve supplémentaire de sa mauvaise foi que nous recevons de jeunes, tout à coup, ils s'arrêtent et saluent vous montrer la peur, comme si la session en plusieurs étapes le long de la gauche et continuez jusqu'à un endroit hors de la ville ont été péché indescriptible. À la fin de quelques heures son attitude tyrannique dépasse la limite tolérable. En surfant sur ce point, Fred s'approcha de notre pilote et l'hôtel en réclamant la navigation exclusive du tourisme dans la région et les menaçant de représailles si elles avaient aidé. Touchés par la situation et encouragé par l'hôtel fatigué de l'abus de cet inconnu, nous décidons de faire quelque chose, au moins symboliquement. Randy Rarick est la meilleure personne pour la conférence et, par conséquent, Fred s'approcha poliment, lui dit, en face de surfeurs locaux qui manipulent les enfants et l'incitation à des intérêts locaux n'est pas une pratique à être fiers. Surtout compte tenu du fait que ces mêmes vagues qu'il cherche à protéger peut être un moyen de sortir de la pauvreté non seulement pour les surfeurs mais aussi pour toute la ville de Mahambo. Randy lui dit que d'autres villages de pêche dans les zones problème comme Sri Lanka ou l'Indonésie ont trouvé leur chemin dans les vagues un développement économique durable. Très probablement les paroles de Randy pas à convaincre Fred à modifier leur comportement, mais les enfants à travers la traduction d'un adulte, ont tout entendu et de prendre pour nous accueillir. Le lendemain matin, nous leur laissons une table de Randy et nous aussi Mahambo derrière. Compte tenu de l'activité cyclonique intense ces dernières années, le chemin de terre reliant les villages au nord était très ému en rendant difficile l'accès à de nombreuses baies et péninsules prometteurs moins sur le papier. Il y aurait exploré pendant des mois! Fatigue après certaines filiales, nous nous arrêtons pour demander des informations dans un autre village. C'est là qu'un monsieur, planches de surf voir sur la voiture, il crie «village Prochain, ondes secondaires», dans un français approximatif. On hésite à suivre ses directives et atteindre la côte à nouveau. La vue sur la mer nous laisse bouche bée, mais les vagues ne sont pas surpris cette fois. Une vingtaine d'enfants surfent une pause douce-point sur des planches de bois bruts. On dirait un pas en arrière dans le temps. Littéralement sauter hors de la voiture et courir vers la plage et certains d'entre eux, curieusement, laissant la pause pour nous rencontrer. Les conseils qu'ils utilisent sont en bois massif, d'environ 4 pieds de long. Sujette à cheval les vagues, accrochés à la barre avec les mains et arquées son dos pour le toilettage. Après les présentations et les compliments, nous analysons l'arrangement de leurs ondes. La section qui sont le surf est la dernière d'un point de longueur qui commence la rupture de plusieurs centaines de mètres au large. C'est seulement quand un actif vaste ensemble des sections extérieures que nous comprenons le potentiel réel. Les enfants, en masse, nous conduire à des sections extérieures et exigeante de leur vague. Il s'agit d'une session mémorable. Randy utilise toute l'expérience accumulée à Sunset pour voir les plus grosses vagues et Tubos dans les chantiers et le long des grottes succhiose de ce droit. Erwan et je n'arrive pas à arrêter de prendre si facile et parfait, des dizaines de fois le long du canal de profondeur, à chaque fois avec un grand sourire. Ce n'est qu'à la fin de la session, nous soucier de trouver un endroit pour dormir. On trouve sur la plage où une famille locale, nous louer un chalet donnant sur la place. Cette routine idyllique se poursuit pendant plusieurs jours pendant lesquels nous avons le temps de comprendre les rythmes de la vie de cette communauté très particulière nourrie et les surfeurs. A en juger par les plaques utilisées, le contact avec le surf "blanc" a été minime, voire nul. Mais leur attitude ne diffère pas beaucoup de celle des surfeurs de l'Ouest. Durant les longues pauses entre la marée haute et l'autre, les enfants errent dans les flaques d'eau à la recherche des poissons de récif et le poulpe. Lorsque les conditions sont optimales (qui pour eux est long et lent) de pointe sur la foule, en observant les priorités étroitement liée à l'âge et le tonnage physique. Qu'est-ce amener les gens à naviguer dans une réalité hostile géopolitique que Madagascar est souvent une cause de discussion lors de nos voyages à «extrême» comme celui-ci. À la réflexion, cependant, les ressources requises pour la naissance du surf est vraiment minime: les vagues et les tables en bois. Ne pas besoin d'autre chose. Réalité "pré-contact», comme cette culture presque chacun de nos voyages et John, qui a probablement rencontré plus que quiconque a une théorie à ce sujet. "Si vous demandez à un internaute de l'Ouest en raison de sa passion pour les vagues de 99% d'entre vous a répondu« parce que c'est amusant. C'est parce que dans le surf de l'Ouest est une forme de traitement pour le stress. Parmi les raisons que ces communautés sont d'autres. Surf enfants apprennent à interagir avec l'océan et à conduire un bateau dans les vagues, à comprendre la force de la brise et se synchronise avec les ensembles. " A en juger par l'habileté avec laquelle leurs parents régissent lourds canots à rames dans les brisants de l'océan Indien, John a raison. Le point de droit du Cap sert de salle de gym et école de voile de ce grand village, dont nous préférons d'omettre le nom, qui sait combien de générations. Le fait qu'aucun droit surfin et qu'aucune activité de loisir pratiquée adultes ce qui confirme que le plaisir, cette communauté n'est pas la principale raison. Randy a grandi dans Oahu, en contact étroit avec la culture polynésienne, il note que les tables utilisées par les gens du pays sont tous identiques à body-board OPAPI "bois utilisé depuis des millénaires par les enfants polynésiens. Fabriqué à partir d'une seule pièce de bois rabotés, ces conseils ont en fait une forme rudimentaire demandée. Le nez est rond et possède une entrée bascule alors que la queue est carrée et a des arêtes vives qui fixent loin derrière les courbes des vagues. Au cours de notre session sur le point, je familiariser avec leur style et leur lecture précise de la vague. Depuis pas de nageoire, mais pourvu d'un rail livré, leurs trajectoires efficaces dessin OPAPI et imprévisible. Par exemple, sur un fond de tour, presque incapable de renverser sa direction et se glissa dans le cœur du tube plat. Voir surf debout ne semble pas à l'intrigue m'a beaucoup, mais les conséquences de notre présence ne tarde pas à se faire sentir. Le troisième jour de surf avec Etienne, le plus rusé d'entre eux nous montre fièrement sa nouvelle création. A un aileron en forme de bois semblable à celui de simple fin Randy coincé avec précision et se brisa sous son conseil d'administration du ventre. Immédiatement pense que c'est un signe: Cette communauté a besoin d'une table et puis on réparer un, équipées de leash de rechange et de la cire et de confier au chef de village pour être sûr que sera utilisé par tous les coureurs aussi. L'image du petit Stephen, prenant son onde stationnaire premier sera le meilleur souvenir de ce voyage.
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A cool ce bar resto local loin du monde!
L'ancien style colonial français est encore visible dans les bâtiments décadente nouveau qui parsèment les rues du centre-ville. En outre commence au nord une étendue de mer sauvages et le surf presque inconnu appelé Vanille côte. Laissez aller de quelques jours (refroidissement) avant de s'aventurer le long de la côte nord-est accidenté. En fait la ville, dont le nom signifie en malgache "sel", s'étend sur une péninsule
Limine sur la plage est de mada
C'est incroyable de voir comment quatre des plus banales platitudes ont pu, seul, pour effacer les routes de la navigation et une nation presque deux fois la taille de l'Italie, située dans l'océan Indien et entouré de zones de surf célèbres tels que l'Afrique du Sud, la Réunion et le Mozambique. L'astucieux plus parmi les lecteurs savent déjà que la côte sud de Madagascar est une destination pour les surfeurs, vingt ans à compter de l'Europe et l'Amérique. Leur présence, et la couverture du magazine, mais ne concerne que la zone située entre Tuléar et Fort Dauphin, où l'infrastructure est également acceptable par gâtés touristes occidentaux et la présence d'un grand requin surf communauté rend le problème moins visible. Mais en regardant la silhouette longue de chaque explorateur surf île avec un peu d'imagination ne peut pas demander une seule question fondamentale. «... Et le reste du pays?"
Limine en vacance a Mada fevrier 2010
Erwan Simon et moi-même à suivre dans le nord de Madagascar. L'efficacité de la désinformation devient clair l'aéroport d'Antananarivo, où 100% des internautes sur les axes couloir de vol des passagers se précipitant vers la porte de Tuléar. Mais nous allons par la porte de l'immigration, les tableaux ci-dessous, entre les yeux, incrédule. Allez vers l'est et le sud de Madagascar est une attitude. Organiser ce voyage s'est révélé être difficile contre le départ. Notre contact à Antananarivo, un Fred, il a trompé par semaine, assurant le transport des billets d'avion et l'hébergement en échange de visibilité pour votre entreprise. Malheureusement, cinq jours après le début toujours pas de service dont nous avions besoin était réservé. Nos plaintes à l'organisme ont provoqué la colère de ce soi-disant «locales» qui, après plusieurs jours d'indisponibilité, vint demander à 150 $ pièce juste pour surfer en toute sécurité "spots sur la côte est. "Si vous Voyage avec moi, même pas près de Mahambo« Nous avons écrit dans son dernier e-mail, en joignant la photo d'une fresque avec le texte classique "locaux uniquement» et révélant, en fait, l'emplacement des meilleures vagues. Le passage dans le capital de la 4X4 sur la côte Est prend le même temps le vol Paris-Antananarivo. Erwan Simon souffre surtout quand la vue de la côte de Toamasina, et les premières vagues surfabili le trouver sur le siège arrière, fiévreux et déshydraté. Au lieu de cela, nous avaler la pilule anti-paludéen avant un somptueux dîner avant de prendre un repos bien mérité. Toamasina est le foyer de la plus grand port commercial de Madagascar et est un excellent point de départ pour explorer les surfeurs du Nord. Le confort de la vie de l'Ouest, cependant, à la fin ici. Toamasina a été jusqu'au siècle dernier, la capitale commerciale de Madagascar. L'ancien style colonial français est
la baie du cap Mada est
Toamasina est le foyer de la plus grand port commercial de Madagascar et est un excellent point de départ pour explorer les surfeurs du Nord. Le confort de la vie de l'Ouest, cependant, à la fin ici. Toamasina a été jusqu'au siècle dernier, la capitale commerciale de Madagascar. L'ancien style colonial français est encore visible dans les bâtiments décadente nouveau qui parsèment les rues du centre-ville. En outre commence au nord une étendue de mer sauvages et le surf presque inconnu appelé Vanille côte. Laissez aller de quelques jours (refroidissement) avant de s'aventurer le long de la côte nord-est accidenté. En fait la ville, dont le nom signifie en malgache "sel", s'étend sur une péninsule de sable à faible perpendiculaire à la côte. Sépare un long récif de corail par l'océan offrant un port sécuritaire relativement à deux entrées. Les vagues, cependant, laissent beaucoup à désirer. Les passes des récifs sont si loin de la rive à exiger l'utilisation d'un support bateau. Les plages du sud de la ville, malgré les conditions de mer que surfabili sont totalement hors de justes limites, car il est placé l'abattoir public. Son sang fuite de gouttière dans la mer et rappelant les cadavres d'animaux d'un demi-requin-tigre de l'hémisphère sud. En effet, nous trouvons un couple de points à une certaine distance de l'abattoir, sans doute sans danger. Si cela était la seule zone de surf disponible n'hésite pas à jeter à la mer, mais avec plus de 300 km de côtes exposées et à notre insu la pensée de quitter la ville derrière pointant vers d'autres baies. En route vers Foulpointe notre route traverse le passage du cyclone Ivan, qui il ya deux semaines a frappé ces côtes, tuant des centaines de personnes. À son arrivée à Foulpointe, nous voyons les ravages causés. Maisons, bateaux, maisons d'hôtes petites le long de la côte, tout est sur leur voyage a été littéralement soufflé. Les 200 premiers de la plage est pleine de débris, empilées en tas haut et un peu partout. Malheureusement, le potentiel du surf, à
Limine a Mada cool
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Madagascars tamatave adeventure root
Une exploration des terres sur le long de la côte Est de Madagascar
Incohérentes, venteux, isolées et plein de requins. C'est incroyable de voir comment quatre des plus banales platitudes ont pu, seul, pour effacer les routes de la navigation et une nation presque deux fois la taille de l'Italie, située dans l'océan Indien et entouré de zones de surf célèbres tels que l'Afrique du Sud, la Réunion et le Mozambique. L'astucieux plus parmi les lecteurs savent déjà que la côte sud de Madagascar est une destination pour les surfeurs, vingt ans à compter de l'Europe et l'Amérique. Leur présence, et la couverture du magazine, mais ne concerne que la zone située entre Tuléar et Fort Dauphin, où l'infrastructure est également acceptable par gâtés touristes occidentaux et la présence d'un grand requin surf communauté rend le problème moins visible. Mais en regardant la silhouette longue de chaque explorateur surf île avec un peu d'imagination ne peut pas demander une seule question fondamentale. «... Et le reste du pays?"
Incohérentes, venteux, isolées et plein de requins. C'est incroyable de voir comment quatre des plus banales platitudes ont pu, seul, pour effacer les routes de la navigation et une nation presque deux fois la taille de l'Italie, située dans l'océan Indien et entouré de zones de surf célèbres tels que l'Afrique du Sud, la Réunion et le Mozambique. L'astucieux plus parmi les lecteurs savent déjà que la côte sud de Madagascar est une destination pour les surfeurs, vingt ans à compter de l'Europe et l'Amérique. Leur présence, et la couverture du magazine, mais ne concerne que la zone située entre Tuléar et Fort Dauphin, où l'infrastructure est également acceptable par gâtés touristes occidentaux et la présence d'un grand requin surf communauté rend le problème moins visible. Mais en regardant la silhouette longue de chaque explorateur surf île avec un peu d'imagination ne peut pas demander une seule question fondamentale. «... Et le reste du pays?"
Mada est patricia et les deux surfeuses local!!
Compte tenu de l'activité cyclonique intense ces dernières années, le chemin de terre reliant les villages au nord était très ému en rendant difficile l'accès à de nombreuses baies et péninsules prometteurs moins sur le papier. Il y aurait exploré pendant des mois! Fatigue après certaines filiales, nous nous arrêtons pour demander des informations dans un autre village. C'est là qu'un monsieur, planches de surf voir sur la voiture, il crie «village Prochain, ondes secondaires», dans un français approximatif. On hésite à suivre ses directives et atteindre la côte à nouveau. La vue sur la mer nous laisse bouche bée, mais les vagues ne sont pas surpris cette fois. Une vingtaine d'enfants surfent une pause douce-point sur des planches de bois bruts. On dirait un pas en arrière dans le temps. Littéralement sauter hors de la voiture et courir vers la plage et certains d'entre eux, curieusement, laissant la pause pour nous rencontrer. Les conseils qu'ils utilisent sont en bois massif, d'environ 4 pieds de long. Sujette à cheval les vagues, accrochés à la barre avec les mains et arquées son dos pour le toilettage. Après les présentations et les compliments, nous analysons l'arrangement de leurs ondes. La section qui sont le surf est la dernière d'un point de longueur qui commence la rupture de plusieurs centaines de mètres au large. C'est seulement quand un actif vaste ensemble des sections extérieures que nous comprenons le potentiel réel. Les enfants, en masse, nous conduire à des sections extérieures et exigeante de leur vague
forgothen island santhocha le film cult
mardi 20 avril 2010
lundi 19 avril 2010
vendredi 16 avril 2010
Aux pays de mon reve
!!!!!!!!!!!!!Quand les conditions son réunis la vague de tortulebays la droit et vraiment parfait avec un super tube dans une eau vert émeraude |
Libellés :
Tortulebay spot
Pays/territoire :
Afrique
vendredi 9 avril 2010
samedi 3 avril 2010
Bruce en pirogue qui va surfer cool
vendredi 2 avril 2010
jeudi 1 avril 2010
les ancetre surfeur malgache commando et ses copain
il on fabriquer leur planche de surf avec les moyen du bord en coupant a la machette la pointe de la pirogue et glisse avec sa quoi leur planche de surfe on revient au ancien temps de la découvert du surf au temps des découvert des ils d"hawaiie a l'époque de thomas cook qui avez découverts thahitie et hawaiie déjà des loco glisse avec des planche ce tipe en balza et glissé sur les mousse quoi le temps des découvert
MADA
LE POU POUSSE DE Fénérive est mada Mars 2010 DAKAT974 |
Pays/territoire :
Fenoarivo Atsinanana, Madagascar
SPOT du Surfeur root sauvage cool day !!!
http://www.youtube.com/watch?v=YngpWylqQ3A QUAND les vagues son là la lumière dans une eau vert émeraude une vague parfait se forme sur plateau de corail un latte tek-off viens creux tubulaire bien ce placer dedans et le tube défile devant toi un tunnel vert émeraude et d'une puissance incroyables il faut bien avoir les jambes accroché sur ta planche tu vois tous le corail défiler devant toi pas le droit de tomber ..COOL day vague parfait un paradis depuis le tremblement de terre au large de l'île de nias le plateau de corail la ouï ya le spot de surf la droit de nias le plateau de corail ses soulever au moins de quatre mètre de haut ce que dise les indonésiens la vague de nias et plus creuse et plus tubulaire attention au corail ça déchire un bon voyage a nias se prépares entre la saison de Avril à fin Décembre pour avoir des condition idéale pour le surf d'on la vie n'est pas cher et période en dehors de cyclone quoi pour le surf pour les surfeur root
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