lundi 30 décembre 2013
samedi 28 décembre 2013
The Best of 80's LOVE SONGS [2 hours non stop] [HD AUDIO]
LES années beautiful free free road road voyage
samedi 21 décembre 2013
D'ici ou d'ailleurs, le surfeur intrigue. C'est une curieuse créature faite de néoprène et d'eau salée, énigmatique et taciturne. Le Harvey Specter de l'eau en somme, qui s'amuse à faire des trucs du cirque du Soleil sur une vague. Pour les filles, le surfeur est avant tout une indomptable tablette d'abdos mobile qui fait des figures de pub Pantene Pro V dans la wave. Donc, quand un surfeur s'approche sur la plage on prend la plus belle pose inspirée par les trop peu célèbres Miss Reef et on sourit en se disant que si y'a bien une bête à attraper dans ses filets cet été c'est bien lui. Imaginez le tableau, vous en maillot brésilien, bronzée comme Victoria Beckham, pas un capiton au mètre carré (j'ai dit imaginez), lui marchant sur le sable, planche sous le bras, la main autour de vos frêles épaules, prêt à affronter des murs d'eau. Y'a de quoi fantasmer. C'est d'ailleurs ce qu'a fait notre chère Paméla quand elle est tombée dans les bras de Kelly. On se plait à scénariser des journées de plage, à faire la groupie à crier victoire au moindre roller, à prendre dix clichés à la seconde de lui qui rame, lui qui fait son take off, lui qui fait son cut back, lui qui se mange un rocher, bref la glamour paparazzi soutien moral et matelas nocturne. Coucher de soleils à regarder ensemble, le sel plein les narines, l'amour dans les yeux, en louchant sur la mer, cette merveille qui vous a réunit. Alors en pratique mes enfants, rien à voir. Mais alors rien. 1/ Le surfeur croit que les nanas c'est comme les vagues : si il ne prend pas la première, la suivante ne saurait tarder, la période est en général assez courte peu importe les conditions, et d'ailleurs c'est un peu ce qu'il recherche : la série. S'il peu toutes les prendre c'est encore mieux, et pas de scrupules quant à la priorité. 2/ Le surfeur n'est absolument pas romantique. Parce qu'il ne parle pas déjà. Si, enfin pour dire des trucs à base de "c'est venté, ça creuse pas, faut qu'on cherche un spot de repli"ce qui ne signifie pas que vous lui avez mis un vent et qu'il est triste mais bien qu'il en a rien à foutre de ce que vous avez envie de faire, il veut juste surfer. 3/ Le surfeur ne peut pas vous faire l'amour. Il fait l'amour à la vague. Vous n'êtes pas une vague, oui même si vous êtes mouillée. 4/ Le surfeur n'est pas sédentaire, donc il ne restera pas avec vous. De la même manière qu'il check les spots il check aussi les chicks. Pas sur Magicseaweed cette fois. 5/ Le surfeur est un dreamer. Il rêve de voyages, de projets, de vagues au bout du monde. Non il ne vous emmènera pas, au bout du monde, y'a d'autres filles déjà. Et, si le surfeur parle peu, quand il vous fait de la houle de belles paroles faites attention il a peut être juste eu une bonne session. 6/ Le surfeur ne fait pas que prendre des tubes, il entube aussi. 7/ Le surfeur va vouloir vous apprendre à surfer. Comme c'est mignon. C'est beaucoup moins mignon d'arriver au pic avec 2 mètres de houle le cheveu enroulé autour du nez, la morve sur la joue, la combi qui prend l'eau, les bras endoloris d'avoir mis les doigts en cuillère pour ramer (enfin barboter), et de se faire entendre hurler " Raaaame, allez DEBOUT". Mais bien sûr, debout ta mère. 8/ Le surfeur est beau. Dans l'eau. Bronzé en board short qui descend légèrement sur les hanches. Le soir dans le salon en jogging avachi sur le canap c'est juste un mec. Moins beau. 9 / Le surfeur aime le surf plus que vous. Peu importe que ça glisse aussi. 10/ Le surfeur ne fait que surfer. Soit vous avez de la chance et c'est un champion qui démonte tout le WQS à Pipe, soit vous avez pris le glandeur de l'écume du coin et bonne chance pour payer le loyer. Cependant, l'avantage de dater un surfeur, c'est découvrir le surf. Du coup, vous devenez surfeuse, tous les points ci dessus s'appliquent alors au féminin. Vous commencez à surkiffer ramer comme une dératée pour arriver au pic, vous faites le cheval comme des les films (ceux de surf, pas les autres interdits aux moins de 18 ans), vous jubilez quand vous démarrez sur une vague, vous explosez de joie à vos premières figures, vous achetez 18 combis, vous vous prenez pour Alana, et vous finissez piquée à vie de ce virus qu'on souhaite à tout le monde.
lechat2013 photo ocean indian""" D'ici ou d'ailleurs, le surfeur intrigue. C'est une curieuse créature faite de néoprène et d'eau salée, énigmatique et taciturne. Le Harvey Specter de l'eau en somme, qui s'amuse à faire des trucs du cirque du Soleil sur une vague. Pour les filles, le surfeur est avant tout une indomptable tablette d'abdos mobile qui fait des figures de pub Pantene Pro V dans la wave. Donc, quand un surfeur s'approche sur la plage on prend la plus belle pose inspirée par les trop peu célèbres Miss Reef et on sourit en se disant que si y'a bien une bête à attraper dans ses filets cet été c'est bien lui. Imaginez le tableau, vous en maillot brésilien, bronzée comme Victoria Beckham, pas un capiton au mètre carré (j'ai dit imaginez), lui marchant sur le sable, planche sous le bras, la main autour de vos frêles épaules, prêt à affronter des murs d'eau. Y'a de quoi fantasmer. C'est d'ailleurs ce qu'a fait notre chère Paméla quand elle est tombée dans les bras de Kelly. On se plait à scénariser des journées de plage, à faire la groupie à crier victoire au moindre roller, à prendre dix clichés à la seconde de lui qui rame, lui qui fait son take off, lui qui fait son cut back, lui qui se mange un rocher, bref la glamour paparazzi soutien moral et matelas nocturne. Coucher de soleils à regarder ensemble, le sel plein les narines, l'amour dans les yeux, en louchant sur la mer, cette merveille qui vous a réunit. Alors en pratique mes enfants, rien à voir. Mais alors rien. 1/ Le surfeur croit que les nanas c'est comme les vagues : si il ne prend pas la première, la suivante ne saurait tarder, la période est en général assez courte peu importe les conditions, et d'ailleurs c'est un peu ce qu'il recherche : la série. S'il peu toutes les prendre c'est encore mieux, et pas de scrupules quant à la priorité. 2/ Le surfeur n'est absolument pas romantique. Parce qu'il ne parle pas déjà. Si, enfin pour dire des trucs à base de "c'est venté, ça creuse pas, faut qu'on cherche un spot de repli"ce qui ne signifie pas que vous lui avez mis un vent et qu'il est triste mais bien qu'il en a rien à foutre de ce que vous avez envie de faire, il veut juste surfer. 3/ Le surfeur ne peut pas vous faire l'amour. Il fait l'amour à la vague. Vous n'êtes pas une vague, oui même si vous êtes mouillée. 4/ Le surfeur n'est pas sédentaire, donc il ne restera pas avec vous. De la même manière qu'il check les spots il check aussi les chicks. Pas sur Magicseaweed cette fois. 5/ Le surfeur est un dreamer. Il rêve de voyages, de projets, de vagues au bout du monde. Non il ne vous emmènera pas, au bout du monde, y'a d'autres filles déjà. Et, si le surfeur parle peu, quand il vous fait de la houle de belles paroles faites attention il a peut être juste eu une bonne session. 6/ Le surfeur ne fait pas que prendre des tubes, il entube aussi. 7/ Le surfeur va vouloir vous apprendre à surfer. Comme c'est mignon. C'est beaucoup moins mignon d'arriver au pic avec 2 mètres de houle le cheveu enroulé autour du nez, la morve sur la joue, la combi qui prend l'eau, les bras endoloris d'avoir mis les doigts en cuillère pour ramer (enfin barboter), et de se faire entendre hurler " Raaaame, allez DEBOUT". Mais bien sûr, debout ta mère. 8/ Le surfeur est beau. Dans l'eau. Bronzé en board short qui descend légèrement sur les hanches. Le soir dans le salon en jogging avachi sur le canap c'est juste un mec. Moins beau. 9 / Le surfeur aime le surf plus que vous. Peu importe que ça glisse aussi. 10/ Le surfeur ne fait que surfer. Soit vous avez de la chance et c'est un champion qui démonte tout le WQS à Pipe, soit vous avez pris le glandeur de l'écume du coin et bonne chance pour payer le loyer. Cependant, l'avantage de dater un surfeur, c'est découvrir le surf. Du coup, vous devenez surfeuse, tous les points ci dessus s'appliquent alors au féminin. Vous commencez à surkiffer ramer comme une dératée pour arriver au pic, vous faites le cheval comme des les films (ceux de surf, pas les autres interdits aux moins de 18 ans), vous jubilez quand vous démarrez sur une vague, vous explosez de joie à vos premières figures, vous achetez 18 combis, vous vous prenez pour Alana, et vous finissez piquée à vie de ce virus qu'on souhaite à tout le monde.
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samedi 30 novembre 2013
samedi 23 novembre 2013
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